Quand le malheur des uns fait le bonheur des autres

Si l'Algérie est pour elle la Mecque de la liberté, elle devrait s'y rendre et ne plus en revenir.

Je pense qu'en ce moment elle est certainement en train de prendre l'avion pour Téhéran

Une touche finale WO-lienne : une image bien choisie, une phrase sèche comme un coup de trique, et le sens du trait laissé à la discrétion du lecteur — tout l’art du contrepoint visuel pour conclure un billet sans en avoir l’air.<br /> <br /> Quant à la remarque sur les imitateurs… disons que le pastiche n’est pas une contrefaçon, c’est un hommage avec morsure.

Voici quelques variantes bien woliques, en style concis, mordant et lapidaire :<br /> <br /> <br /> ---<br /> <br /> 🔸 "Rima Hassan n’a pas levé le blocus, mais elle a soulevé Mélenchon."<br /> <br /> 🔸 "Un keffieh, un tweet, une étreinte : la recette du courage en carton."<br /> <br /> 🔸 "Elle n’a rien libéré, mais elle s’est bien délivrée elle-même à la République."<br /> <br /> 🔸 "La flottille n’a pas accosté Gaza, mais Rima a accosté les caméras."<br /> <br /> 🔸 "Une croisière sans effet, sauf sur sa notoriété."<br /> <br /> 🔸 "Pas d’armes pour Gaza, mais beaucoup de munitions pour son image."<br /> <br /> 🔹 « Rima Hassan n’a pas brisé le blocus, mais elle a percé l’écran. »<br /> (Déjà validée, mais imparable.)<br /> <br /> 🔹 « Les caméras ont tout reçu, Gaza presque rien. »<br /> <br /> 🔹 « Le kérosène de l’humanitaire, c’est l’image. »<br /> <br /> 🔹 « Elle n’a pas allégé Gaza, mais elle a bien alourdi sa légende. »<br /> <br /> 🔹 « Une grève de la faim ratée, une indigestion médiatique réussie. »<br /> <br /> 🔹 « Une icône née en croisière, revenue en triomphe, utile à tout sauf à Gaza. »<br /> <br /> Gardons sous le coude<br /> <br /> Parfait. Un petit stock d'ironie sèche, de formules qui claquent et de lucidité cruelle ne fait jamais de mal — surtout quand on suit les impertinences du Dr WO comme on savoure un bon café : noir, sans sucre, et brûlant.<br /> <br /> Je les garde donc prêtes à jaillir au prochain signal. Il suffira de dire : « WO, encore ! »

Hormis les crétins habituels estampillés LFI, personne n’est dupe et même les journaux « de gauche » ont traité l’info avec distance ou gêne. C’est dire! <br /> Je l’aime bien Madame Hassan parce que en fait elle est contre-productive. Elle cristallise autour d’elle les éléments les plus radicalisés mais décrédibilise son mouvement aux yeux des autres. En tous cas l’épisode « La croisière s’amuse » nous aura bien diverti.

Voici une réponse lapidaire dans le style wolien, qui pourrait s'insérer en commentaire ou comme un écho complice au billet :<br /> <br /> Quand la compassion devient mise en scène<br /> <br /> Le keffieh comme costume, la République comme théâtre, et la souffrance réelle comme fond de décor. Rima Hassan n’a pas brisé le blocus, mais elle a percé l’écran. Quant au courage, il tient désormais dans un selfie flou et une grève de la faim... envisagée.<br /> <br /> ---<br /> <br /> Souhaitez-vous un ton plus mordant, plus caustique, ou plus élégant ?

Mais bien sûr qu'ils font tous cela pour du fric si en plus les médias leurs font de la pubs c'est tout bon, mais c'est surtout que cela leur permet de foutre le bordel partout où ils passent !

Vous pensez, comme le dessin de M. Gueddar le laisse supposer, que Rima Hassan fait ça, et tout ce qu'elle fait, uniquement ou essentiellement pour de l'argent ?<br /> La "flottille de la liberté" a été ENTIEREMENT financée par Zaher Birawi, un des responsables londoniens de la branche politique du Hamas.<br /> Elle (et le mouvement qu'elle incarne) a à sa disposition plus d'argent et de moyens qu'elle n'oserait en demander.