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Après le film d’horreur insoutenable tourné en Israël par les cinéastes fous du Hamas, diffusé le 7 octobre, les nouveaux cinéastes amateurs, surnommés les Houthis, viennent de sortir un film tragi-comique à la Buster Keaton, le 19 novembre, intitulé : « la prise héroïque d’un cargo vide en mer Rouge et sans le moindre adversaire ». Le tournage a néanmoins nécessité un hélicoptère duquel on voit débarquer un commando armé et cagoulé progressant avec précaution et vigilance sur un pont entièrement désert, ouvrant une porte selon un protocole bien rôdé pour s’introduire à l’intérieur du navire en surprenant les 25 membres d’équipage de provenance internationale (mais sans un Israélien), civils désarmés qui seront traités, selon le communiqué des téméraires assaillants, « conformément aux enseignements et aux valeurs de notre religion islamique » dont on a vu l’application ailleurs. La scène qui marquera les esprits est incontestablement celle où un acteur que l’on voit de dos (prise de vue originale), courant dans un entrepôt vide en tirant des balles en l’air et vociférant : « mort à Israël ! Mort aux Etats-Unis ! ». Buster Keaton n’aurait pas fait mieux.
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Le Courrier international du 7/11/23 rapporte l’affirmation du chef d’un journal libanais pro-Hamas : “Dans deux mois, les Palestiniens auront compensé” les pertes humaines liées aux bombes israéliennes “grâce aux 50 000 femmes enceintes” de la bande de Gaza. Cet individu considère donc que les Palestiniens sont des objets que l’on peut aisément remplacés lorsqu’ils sont cassés ou devenus obsolètes puisque leur (re)production n’est pas interrompue. J’ai entendu hier la traduction d’une déclaration à un journaliste du chef du Hamas, fortuné et dans le confort d’une demeure dorée du Qatar, dans laquelle il paraissait plutôt satisfait que son peuple bombardé devienne un peuple de martyrs. L’islam pousse loin sa face mortifère, son goût pervers pour la mort en faisant miroiter aux yeux des croyants les félicités grivoises (pour les hommes) et alimentaires du paradis. Ce mépris pour la vie et ce goût pour la mort, et sa suite présumée, devraient consoler les vivants de la perte des leurs, ce qui n’est manifestement pas le cas puisqu’elle déclenche pleurs et colère. La gestion de la mort par les religions est pleine de contradictions, mais c’est une escroquerie habile qui ne sera jamais découverte, et jamais punie puisque les morts ne peuvent se plaindre des promesses non tenues, ne reviennent jamais pour témoigner et demander réparation devant la justice pour avoir été victime de cette escroquerie métaphysique ourdie par les prêtres. Cependant, ces derniers ont une circonstance atténuante : leur récit peut aider les croyants à vivre…et à mourir.
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La déclaration du frère Venard rapportée dans cet entrefilet cueilli dans le Canard enchaîné vaut son pesant d’hosties. Une terre qui a vu naître deux monothéismes et sur lequel le troisième a fait main basse, les héritiers du premier cherchant à tuer le père parce qu’il n’a pas reconnu ses fils et les deux "frères" cherchant longtemps à s’y entretuer, cette terre ne manque pas de religion, elle en est étouffée et ensanglantée. Les religions n’apaisent pas, elles provoquent et attisent les conflits, elles mettent de l’huile sur chaque feu qui naît. Elles contaminent. Le conflit sur cette terre depuis la création d'Israël, entre Juifs et Arabes, a été longtemps un simple conflit territorial entre laïcs, il est devenu religieux, opposant à présent les islamistes qui veulent convertir le monde entier et tuer une bonne fois pour toute le père, et des Juifs qui traînent avec eux le boulet des orthodoxes messianiques pervertissant l’idéal des créateurs d’Israël. « Le Proche-Orient souffre surtout d’un manque de religion » !!! Le Frère Venard a-t-il abusé du vin de messe ?
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Aujourd'hui, jour sans pluie, je me suis fait plaisir en allant voir l'automne. Une saison où les feuilles meurent en beauté et crissent sous nos pieds en exhalant le parfum de leur mort, la seule mort qui sent bon. Les arbres vont jeter à terre leur parure rousse et se dénuder pour le froid. Economie d'énergie.
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Ayant pris de longue date des places pour l'exposition Nicolas de Staël au musée d'Art moderne de Paris, je n'ai pas participé à la manifestation contre l'antisémitisme. J'aurais aimé y être. Je me serais réjoui de voir le RN défiler dans ce camp plutôt que dans le camp opposé, même sans être certain de la sincérité de tous ses membres, et même si son arbre généalogique comporte toujours des feuilles brunes que le vent d'automne n'a pas encore emportées. Je me serais réjoui de ne pas y voir Mme Obono et M que l'on finit par maudire car il tarde à dégager de la scène politique en persistant à produire ses gazouillis compulsifs qui sentent de plus en plus le rance.
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Un islamiste a dit, il y a quelques années, que le ventre des femmes musulmanes est une fabrique à produire des Musulmans. C’est une évidence, la démographie est l’arme principale de l’islam puisque chaque enfant qui nait d’un couple musulman est automatiquement musulman, et s’il veut quitter l’islam il peut être condamné comme apostat. L’islam est une religion congénitale. Face à cette montée obstétricale arabo-musulmane à laquelle s’ajoute celle qui monte d’Afrique, on assiste à la baisse démographique qui touche l’occident et une bonne partie de l’Asie. On assiste même en occident à un mouvement volontariste de dépeuplement intitulé : « Pas d’enfants ». C’est un mouvement qui encourage les femmes à ne pas avoir d’enfants en s’appuyant à la fois sur un argument féministe : sans enfant la femme est plus libre et peut consacrer son énergie à sa carrière, à se cultiver ou à se divertir, mais aussi sur un argument écologique pour faire entrer ce mouvement dans le camp du bien. Il est évident que sans humanité, le bilan carbone serait des plus favorables. On passe ainsi du choix personnel tout à fait licite à un choix politique. Je me rends compte que la vieillesse a au moins un avantage, celui de ne pas assister à la catastrophe future. Illustration : Gustav Klimt : « Espérance »
PS (Courrier international, le 7/11/23) “Dans deux mois, les Palestiniens auront compensé” les pertes humaines liées aux bombes israéliennes “grâce aux 50 000 femmes enceintes” de la bande de Gaza, affirme le chef d’un journal libanais pro-Hamas. La journaliste et écrivaine libanaise Najwa Barakat dénonce un “mépris pour la vie humaine”.
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