• Eole

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  • Du passé caniculaire à la grisaille venteuseNous avons échappé de peu à l'enfer de la Gare Montparnasse toujours aussi sale, toujours aussi dépourvue de sièges qu'il s'agisse de ceux des espaces d'attente que ceux des toilettes, avec l'impression d'une foule crispée en rétention. Un peu de désordre dans les trains, mais à l'heure pour arriver à bon port.


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  • Agressions féministes ou l’enterrement d’une bière

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  • Petite revue de P(a)resse

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  • Là est la questionDans mon petit billet "Sont-ils aussi nuls ?", j'osais, malgré mon incompétence dans ce domaine, poser cette question sur la réforme des retraites imposée par le gouvernement, non pas sur sa nécessité, mais sur son contenu bancal et mal pensé. Malgré le temps consacré à sa gestation, l'accouchement s'avère douloureux et son produit difforme. L'hebdomadaire Marianne du 23 mars avait consacré sa une à un appel pour un référendum afin de sortir de la crise. Comme on le sait, le referendum d'initiative partagée (RIP) est un processus lourd mais ses partisans ne manquent pas car il aurait pour conséquence d'abroger la loi déjà votée. Il est évident que si l'on pose la question : "Voulez-vous travailler deux ans de plus ?" (ou "approuvez-vous la réforme"), la réponse serait évidemment non. Posez la question dont on connait la réponse est certes démocratique mais inutile. Outre le fait qu'en France la tendance est de s'opposer aux propositions du gouvernement même lorsqu'elles sont favorables à long terme pour la population, tout est dans la formulation de la question. Supposons qu'au lieu de demander : "Voulez-vous travailler deux ans de plus", la question soumise au référendum serait : " Voulez-vous que vos enfants travaillent trois ans de plus pour payer vos retraites futures", et avec l'évolution démographique trois ans serait un allongement modeste, je ne suis pas sûr que la réponse serait positive. Et il est devenu de bon ton d'ajouter "quand je dis ça, je dis rien".


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  • Lors de sa visite au salon de l’agriculture, Emmanuel Macron fut pris entre le marteau des écologistes et l’enclume des agriculteurs. « Comme la colère que ce jeune activiste du collectif écolo, Dernière rénovation, placarde sur son tee-shirt, « À quoi tu sers ? ». Et clame par ces mots rugis : « Vous nous mettez dans le gouffre ! Tous les rapports scientifiques vous le disent, pourquoi vous n’écoutez pas ? » Le président peine à en placer une, jusqu’à cette flèche : « Vous êtes la démonstration d’une forme de violence civique. » Interpellé sur « la rénovation thermique des bâtiments », l’hôte de l’Élysée réplique : « C’est ce qu’on fait ! » Dialogue de sourds, le militant tourne les talons ». (Le Parisien)

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  • Une publicité vraiment trop durable

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  • PréoccupationSi cette information est exacte, à titre de réciprocité, il serait souhaitable de demander aux Palestiniens des noms  pour envisager la succession du président de la République française, dont la fonction provoque un vieillissement accéléré.


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  • Les pieds de PeléEn ce moment se déroulent les funérailles de Pelé. Funérailles grandioses, le Brésil en pleurs, trois jours de deuil national. Le défunt était un footballeur admiré pour son maniement d’un ballon avec ses pieds et sa tête. C’était un amuseur doué qui a donné du plaisir à son public, c’est incontestable. Mais qu’a-t-il laissé en héritage au monde. Rien. En France nous avons eu aussi des funérailles grandioses et disproportionnées pour le chanteur Johnny Hallyday qui n’avait rien créé, qui n’était pas irréprochable, mais hurlait avec beaucoup d’énergie et de conviction les chansons des autres. Pourquoi lui et pas des chanteurs comme Brassens, Brel, Barbara pour ne citer que les grands B qui étaient des poètes et des créateurs ? Les plus grands esprits, les personnes qui ont laissé un héritage d’importance au monde ont souvent eu des funérailles modestes. Albert Einstein qui avait bouleversé notre conception de l’univers fut – selon sa volonté – incinéré en 1955 et se cendres dispersées dans un lieu tenu secret. C’est contre sa volonté que son cerveau fut prélevé pour tenter de découvrir l’origine de son génie. J’espère que l'on a laissé en paix les pieds de Pelé. Illustration : Magritte.


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