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Lors de sa visite au salon de l’agriculture, Emmanuel Macron fut pris entre le marteau des écologistes et l’enclume des agriculteurs. « Comme la colère que ce jeune activiste du collectif écolo, Dernière rénovation, placarde sur son tee-shirt, « À quoi tu sers ? ». Et clame par ces mots rugis : « Vous nous mettez dans le gouffre ! Tous les rapports scientifiques vous le disent, pourquoi vous n’écoutez pas ? » Le président peine à en placer une, jusqu’à cette flèche : « Vous êtes la démonstration d’une forme de violence civique. » Interpellé sur « la rénovation thermique des bâtiments », l’hôte de l’Élysée réplique : « C’est ce qu’on fait ! » Dialogue de sourds, le militant tourne les talons ». (Le Parisien)
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On pouvait espérer que la science qui utilise un langage universel accessible à tous et partout échapperait à la terminologie du « politiquement correct » qui devient de plus en plus le « politiquement idiot ». Peggy Sastre a lu pour nous un article publié le 6 février dans une revue sérieuse : Trends in Ecology and Evolution et dont elle nous fait part dans Le Point du 23/02/23.
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Aujourd'hui, en me promenant Boulevard Haussmann, j'ai rencontré un cousin. Il était manifestement mécontent de la forme qui lui avait été assignée. Il ne connaissait pas le responsable de cette assignation : le hasard et la nécessité ? Un des Dieux pour lesquels ses cousins n'hésitent pas à se massacrer ? Ou même un bureaucrate ? Je lui ai suggéré le nom du créateur qui figurait à ses pieds et qu'il ne pouvait pas voir (on ne voit jamais son créateur) : Michel Bassompierre, sans lui révélé le nom qu'il lui avait donné : "Le Patriarche n° 1", ce qui l'aurait vieilli. Le cousin m'a avoué qu'il ne se reconnaissait pas dans son corps et qu'il aimerait avoir celui d'un humain. Je lui ai conseillé de garder le sien en lui affirmant qu'il était plus humain que nous.
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