• J’avoue que je ne sais pas ce que tous ces  cadenas accrochés aux grilles du pont deDSC01057 l’archevêché signifient.

    Je sais bien que les vacances vont commencer et que les Parisiens tiennent beaucoup à leurs ponts, mais serait-ce au point de les cadenasser pour avoir la certitude de pouvoir quitter une ville superbe et gagner des autoroutes sur lesquelles ils perdent l’essentiel de leur temps libre, quand ce n’est pas la vie.

    Est-ce une œuvre d’art ? Ce n’est pas impossible. L’artiste montrant l’ouverture de son esprit (à tous vents) en exposant des cadenas fermés aux passants perplexes. Mais l’on se pose des questions et n’est-ce pas l’une des propriétés d’une œuvre d’art moderne ? Enfin, le pont de l’archevêché a-t-il été choisi au hasard ou serait- ce une allusion perfide à l’effet des religions sur les esprits ?


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  • sommeil au volantLa somnolence au volant est la première cause d´accident sur les autoroutes (1 sur 3) devant l´alcool (1 sur 6) et la vitesse (1 sur 10).

    L’Argus s’est donc livré à une expérience dont les résultats sont plutôt inquiétants. A la clinique du sommeil de Paris il a été vérifié qu’un conducteur,  la nuit avant son départ pour Nice, avait parfaitement dormi. Il a pris le volant équipé d’un dispositif sophistiqué de surveillance. Bien que ce conducteur ait respecté toutes les recommandations notamment pour éviter la somnolence, il a dormi 11 minutes pendant son trajet de 930 km, absolument sans s’en apercevoir !  Il a donc parcouru 24 km à une vitesse moyenne de 130 km/h en état de somnolence. Ces 11 minutes se décomposent en 8 séquences et varient entre 30 secondes et 2 mn30.

    Certes il s’agit d’une statistique sur 1 cas, mais ce conducteur était dans les meilleures conditions pour ne pas s’endormir au volant, cela suggère qu’il est possible que tous les conducteurs s’endorment sur un long trajet.

    Mais comment interpréter un bâillement chez une femme ? Selon un spécialiste du bâillement (ça existe !) cette ouverture incontrôlable de la bouche féminine accompagnée d’étirements  serait une expression du désir sexuel. Si le passager masculin prend cette manifestation du sommeil pour une invite, les accidents de la route risquent de se multiplier.

    Il parait cependant peu probable que dans le cas du conducteur testé le sommeil ait été complet au point de fermer les yeux et de relâcher les muscles pendant 2 mn30, ce qui est très long. Néanmoins, il serait charitable lors de mon prochain trajet en voiture de le faire en klaxonnant tout le long de la route afin de réveiller les autres automobilistes, ce qui me permettra de dormir au poste de police la conscience tranquille.

     


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  • allaitement homme 2Dans un précédent billet (« Cachez ce sein que je ne saurais boire ») je faisais état (comme beaucoup d’autres) de la fatwa édictée en Egypte en 2007 et récemment confirmée par Cheikh Abdul Mohsen Bin Nasser Al-Obeikan, membre du Conseil des grands oulémas d’Arabie Saoudite et conseiller du roi. D’après cet esprit éclairé, les femmes saoudiennes ont le droit de donner le sein à leurs conducteurs étrangers (puisqu’elles n’ont pas le droit de conduire) afin d’en faire l’équivalent de leurs propres fils et frères de leurs filles,  “Une femme peut donner le sein à un homme adulte afin d’en faire son fils. De cette manière, celui-ci pourra la fréquenter, elle et ses filles, sans enfreindre la loi islamique”, loi interdisant aux hommes et aux femmes de frayer ensemble, ce qui est le cas dans l’habitacle étroit d’une voiture où Dieu sait ce qui peut s’y passer. Le religieux précise toutefois que le lait devait être tiré de la femme et donné à l’homme dans une tasse (d’après le journal Gulf News qui rapporte les faits,  le religieux a fondé sa fatwa sur un hadith du Prophète, rapporté par Salim, serviteur d’Abu Huzaifa à une époque où les conditions de la montée de lait étaient peut-être ignorées et semblent l’être restées de nos jours par certains religieux de l’Islam).

    Son application ne s’est pas fait attendre : Hamid Al-Ali, journaliste pour un magazine en ligne, rapporte qu’un chauffeur égyptien qui s’était amouraché de l’institutrice qu’il emmenait à l’école lui avait demandé de lui donner le sein et, devant son refus, il avait répondu : “Je veux devenir votre fils.”

    Les femmes saoudiennes trouvent évidemment cette fatwa stupide et se demandent si elle doit s’appliquer également aux maris, qui devraient alors téter le sein de leurs employées de maison pour devenir frères et sœurs. Une présentatrice sur une chaîne de TV a demandé à l’imam si elle devait donner le sein à tous ses collègues présents sur le plateau, l’imam en bon jésuite aurait esquivé la question.

    Les femmes saoudiennes menacent d’appliquer le décret en lançant une campagne avec pour slogan : “Laissez-nous conduire ou nous donnons le sein à tous les chauffeurs étrangers”.

    C’est loin l’Arabie Saoudite ?


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  • Les femmes vivent en moyenne plus longtemps que les hommes, mais si, selon le vieil adage, la santé est le silence des organes, les organes féminins ne sont guère silencieux. Sacha Guitry disait que les femmes sont si souvent malades que l’on avait l’impression qu’elles avaient plus d’organes que les hommes. Elles n’en ont pas plus mais ils se manifestent davantage au cours de la vie. Chaque mois lunaire les hormones jouent régulièrement au yoyo et ce n’est pas sans conséquences. Quand les hormones cessent leur yoyo, le cerveau n’aime pas ce silence soudain et se manifeste le plus souvent de façon désagréable. Entre temps un corps étranger souhaité vient bouleverser une ou plusieurs fois leur organisme. Quand elles veulent éviter ce corps étranger, les femmes mettent des trucs ou prennent des choses. Quand elles ne peuvent pas avoir ce corps étranger et qu’elles le désirent, les femmes prennent des trucs et font des choses.

    Le corps de la femme est compliqué et sans cesse bouleversé et des médecins qui savent l'examiner, qui connaissent les trucs à mettre et les choses à prendre en fonction de chaque cas, sont là pour les diriger, les surveiller et les soulager : ce sont les gynécologues médicaux (qui ne font ni obstétrique, ni chirurgie). Cette spécialité (et s’en est vraiment une) a été supprimée en 1987 pour réapparaître il y a 7 ans et les résultats ne sont pas mauvais : « si en France le nombre de cancers du col de l’utérus a été divisé par 4 en 20 ans, et si les femmes ne sont plus que 14% à ne plus avoir d’utérus à 50 ans, contre 30 à 46 % dans le reste de l’Europe, c’est en tout premier lieu grâce au suivi gynécologique, à tout âge de la vie, qu’assurent les spécialistes des femmes que sont les gynécologues médicaux ».

    L’ennui est que cette spécialité risque de disparaître à nouveau  faute de combattants. L’accès direct au gynécologue se solde par une pénalité financière. Le nombre de gynécologues diminuent, il serait 1000 aujourd’hui, les délais d’attente sont déjà longs (risque de dépistage tardif des cancers, difficulté des jeunes filles  pour être prises en charge par un gynécologue) et avec le recrutement actuel (27 postes d’internes en 2009 alors qu’il en faudrait une soixantaine) ce chiffre risque de descendre à 600 en 2015 et 180 en 2020.

    Le vendredi 18 juin, une délégation du Comité de défense de la gynécologie médicale (CDGM) espérait être reçue par Roselyne Bachelot pour lui exposer cette situation préoccupante. Elle a été accueillie par un conseiller, Mme Bachelot s’occupant principalement ce jour là de l’avenir l’équipe de France de football qui lui a paru plus important que celui des femmes de ce pays.


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  • Le populisme a été au départ un mouvement littéraire où les écrivains cherchaient dans leurs œuvres à peindre avec réalisme la vie des gens du peuple. Puis, curieusement, le populisme est devenu une attitude politique visant à s’attaquer aux élites dirigeantes, attitude à connotation péjorative car elle peut parfois être  canalisée à son profit par un homme politique hors du sérail, qui une fois au pouvoir remplace l’élite précédente par une autre, fait en sorte qu’elle lui reste fidèle, parle au nom du peuple dont il se fiche éperdument, et tout ça se termine souvent très mal.

    Les exemples historiques ne manquent pas, il n’est donc pas étonnant que les classes dirigeantes actuelles devant les attaques dont elles sont l’objet répliquent en parlant de populisme, sous-entendant que ces attaques, si elles continuent, pourraient conduire au pire et que les turpitudes dont on peut les accuser sont un moindre mal. Mais la solution qui consisterait à faire des réformes de fond pour amender le système leur vient difficilement à l’esprit et elles préfèrent, toujours sous la pression populaire ou médiatique, donner quelques gages superficiels comme autant d’os à ronger en traitant de chiens ceux qui dévoilent leurs petits arrangements et de populistes ceux qui les dénigrent. Autrement dit : culpabiliser les journalistes qui osent exposer la vérité et la valetaille qui s’en scandalise. Fastoche.


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  • QI. Mesure l’intelligence comme la taille d’un tableau mesure le talent du peintre.

    QUALITE DE VIE. Est devenue l’un des critères d’évaluation de l’acte médical. C’est estimer qu’une vie vaut plus la peine d’être vécue qu’une autre.

    QUALITICIEN. Vérificateur de conscience professionnelle devenu indispensable dans tout établissement de soins qui se respecte. Son salaire permettrait d’engager une infirmière ou deux aides-soignantes supplémentaires pour améliorer les soins. Mais c’est une idée inconsciente.

    QUANTIFIABLE. Quantifier pour mesurer ce qui n’est ni quantifiable, ni mesurable afin de publier des chiffres autrement plus convaincants qu’une phrase.

    QUARANTAINE. S’isoler pour incuber.

    QUINTE DE TOUX. Toux à répétition, persiste lors du concert.

    RECRIMINATIONS. Souvent le fait d’un nouveau patient à l’égard d’un médecin vu précédemment. Le médecin nouvellement choisi doit les écouter avec attention car ce sont les mêmes qui seront faites contre lui au prochain confrère consulté.

    RECUL. S’en dispenser pour publier plus tôt et prendre date avant la survenue de la rechute et des effets secondaires. Prendre moins de recul pour mieux sauter.

    REFORME. La médecine a été et est toujours un champ sans cesse labouré par les réformes. Les étudiants en sortent parfois tout tordus lorsqu’ils en ont vécu plusieurs. Les médecins se demandent quand la charrue les fera disparaître. Les patients se demandent qui va payer la récolte. Et l’état où trouver le grain à moudre.

    REFOULEMENT. Se dit des eaux usées et des désirs qui ne le sont pas.

    REFROIDISSEMENT. Désigne une infection, alors que le malade est réchauffé par la fièvre.

    REGIMES. Alimentent une littérature pléthorique qui laisse sur sa faim.

    REGRETS. Pour ceux qui sont morts parce qu’on n’a pas su quoi faire ou parce qu’on en a trop fait.

    REGROUPEMENT DES HOPITAUX. Le but sera finalement atteint  lorsqu’il n’existera qu’un seul hôpital monstrueux au centre du pays, vers lequel on fera converger  tous les malades qui résisteront au transport. Finies les économies de bout de chandelle. Que des cierges.

    REJET. En médecine comme ailleurs, menace le transplanté. Mais ailleurs, il n’existe aucun traitement.

    REMPLACANT. Permet de faire des diagnostics ayant échappés au médecin remplacé.

    RENDEZ-VOUS. Incite au manque de respect.

    REPONSES. N’en faire qu’aux questions posées par le patient. Il a ses raisons de ne pas poser celles dont il craint les réponses.

    REPRISE. En chirurgie, c’est commencer par refaire un trou.

    RESILIENCE. Tenir debout après un retour de bâton.

    RESPONSABLE. Remplace avec intérêt la malchance et la fatalité.

    RETRAITE. Vacances mortelles.

    RETROVIRUS. Contrairement à ce qu’on pourrait croire les rétrovirus ne sont pas des virus qui marchent à reculons mais des virus particulièrement vicieux, qui pénètrent dans la cellule sans avoir l’air d’en vouloir au noyau et au dernier moment, ils  retournent leur veste pour y entrer.[1]

    REVEIL  En se réveillant après une anesthésie, il vous manque toujours quelque chose.

    REVOLUTION. Supprimer des dogmes auxquels on a crus pour les remplacer par des dogmes auxquels on croira avec la même conviction.

    Revues médicales. Trop nombreuses, heureusement qu’elles répètent presque toutes la même chose dans chaque spécialité. L’essentiel est d’être de la revue.

    RHINOPLASTIE. Correction d’un phénotype.

    RIEN. Dire à un patient qu’il n’a rien est un plaisir partagé. Pourtant, certains ne sont pas satisfaits de cette conclusion, se sentent floués et vont consulter ailleurs afin que leurs troubles soient pris au sérieux. Rien ne leur fait plus plaisir que de donner un nom à leur absence de maladie.

    RISQUES. Le médecin prend les risques qu’il fait courir au patient.

    ROBOT. Permet de prendre ses distances avec le malade.

    RYTHME CARDIAQUE. Battements utilisés dans les films pour renforcer le suspense au cœur de l’action.

     lecteur.jpg



    [1] Le rétrovirus est constitué d’ARN (acide ribonucléique) mais possède une enzyme spécifique : la rétrotranscriptase. Après pénétration du virus dans la cellule, cette enzyme transforme l’ARN viral en ADN (acide désoxyribonucléique), qui entre dans le noyau cellulaire et s’insère dans son génome


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  • Asile politique

    Selon des milieux autorisés (à dire n’importe quoi) des hommes politiques anglais, américains et allemands  qui ont perdu leur poste pour avoir par distraction acheté des babioles aux frais des contribuables ou utilisé des moyens publiques à titre privé, ont demandé la nationalité française, en espérant par la suite être élus dans l’hexagone, ce qui leur permettrait d’exercer sereinement un mandat en jouissant de la plénitude des moyens dont ils pourraient disposer.

     

    Les chiens ont une dent contre la tête de l’Etat français.

    La SPA signale que des chiens ont porté plainte contre François Fillon, se sentant diffamés d’avoir été comparés à des journalistes. Par ailleurs les toutous, qui espéraient bénéficier des restes de la garden-party du 14 juillet à l’Elysée, ont appris que celle-ci serait supprimée pour satisfaire le bon peuple des bipèdes. Le collectif canin considère qu'il s'agit là d'un os à ronger qui leur échappe.

     

    Clairvoyance

    Les stocks de pétrole brut aux USA ont fortement augmenté. Les experts remercient BP d’avoir écroulé leur plateforme et déversé du pétrole dans la mer afin que les cours de l’or noir ne s’écroulent pas.


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  • picabia Deux femmes aux pavotsINTIMITE

     

    Deux femmes seules se croient à l’abri

    Et se déshabillent derrière les pavots

    Nous les voyons retirer leurs habits

    Par la fenêtre indiscrète du tableau

     

    L’une achève de se dévêtir par le haut

    Ses seins lourds nimbés de lumière

    Les bras dans un geste de flamenco

    Yeux clos, elle est prête la première

     

    L’autre, le visage penché dans l’ombre

    Les doigts  sur une boucle rebelle

    Le flot défait de ses cheveux sombres

    Impatiente de rejoindre sa belle

     

    Paul Obraska

     Francis Picabia : « Deux femmes aux pavots »


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  • Scrofule.jpgUn enregistrement pirate réalisé dans les vestiaires du cirque Bettencourt aurait permis de révéler une insulte de Florence à la légalité en face de son entraineur Eric chargé de la faire respecter. Celui-ci a lu une déclaration affirmant que ce que faisait Florence ne le regardait pas et que, de l’avis des joueurs, ce qui se passait dans les vestiaires faisait partie de la vie privée. Des observateurs réclament la démission d’un entraineur qui, malgré sa proximité avec les protagonistes, n’a sur eux aucune influence et les laisse pratiquer un jeu réprouvé par les spectateurs. La Fédération Nationale est un peu paniquée, d’autant plus que l’équipe de France devient la risée des autres pays, en dehors de la Suisse qui avait récupéré le ballon d’or. Il serait souhaitable que les joueurs prennent une retraite définitive, négociée par Eric encore en place, sur une île aux Seychelles que le cirque possède sans l’avoir déclarée.

     

    (De l’agence W.O.)


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  • Un certain Nicolas Carr a publié un ouvrage intitulé « The Shallows : what the Internet is doing to our brains » (rassurez-vous, je ne l’ai pas lu). Les Américains passeraient en moyenne 8,5 heures par jour à interagir avec leur PC, leur TV, ou leur smartphone, ils consulteraient chaque heure au bureau 30 à 40 mails, quant aux adolescents des States, fin 2008, ils auraient en moyenne  reçu ou envoyé mensuellement 2272 textos. Je pense que ces statistiques pourraient s’appliquer à beaucoup d’Européens.

    Cet auteur tente de démontrer dans son ouvrage que la dispersion, les multiples sollicitations, la multiplicité des informations offertes par les réseaux numériques et les fausses informations[1] risquent d’entraîner une modification de notre fonctionnement cérébral dans le sens d’une régression : défaut de concentration, mauvaise mémorisation, perte du sens critique, défaut d’appréciation de l’importance relative des informations.

    Il est probable que la possibilité rapide et facile d’avoir les informations à notre disposition sur Internet encourage notre paresse et nous évite l’effort de la mémorisation pourtant à la base de toute synthèse.

    Il est vrai que les informations secondaires ont souvent le même relief que les informations importantes et parfois plus lorsqu’elles prennent une tournure distrayante ou scandaleuse, même si leur véracité est incertaine.

    Il est certain que la chaîne infinie des liens pousse à papillonner d’une information à l’autre avec le risque de ne pas approfondir chaque sujet et de se contenter d’une réflexion superficielle ou de s’en dispenser lorsqu’on est pris par le tourbillon électronique.

    A l’opposé, vous êtes le prisonnier d’un livre bien fait, s’il vous intéresse vous lui resterez fidèle et n’irez pas ailleurs. Ce livre que vous avez entre les mains, vous croyez le manipuler mais c’est lui qui vous manipule et qui vous oblige à suivre la route qu’il a tracée. Un livre est un objet exigeant, vous n’avez que la liberté de la séparation provisoire en le fermant.

    Mais en ce qui me concerne, me voilà rassuré, pour ma mémoire et ma concentration, ce n’est pas l’âge, c’est Internet le responsable. Par contre, j’ai une hypertrophie pathologique du sens critique, et je me demande si ma dose de toile est suffisante.



    [1] Mme Royal s’est récemment fait piégée en citant un certain Léon Robert de l’Astran, dissident de la traite négrière en Poitou-Charentes qui n’a jamais existé mais présent sur Internet depuis 2007


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