• Le ventre des femmesUn islamiste a dit, il y a quelques années, que le ventre des femmes musulmanes est une fabrique à produire des Musulmans. C’est une évidence, la démographie est l’arme principale de l’islam puisque chaque enfant qui nait d’un couple musulman est automatiquement musulman, et s’il veut quitter l’islam il peut être condamné comme apostat. L’islam est une religion congénitale. Face à cette montée obstétricale arabo-musulmane à laquelle s’ajoute celle qui monte d’Afrique, on assiste à la baisse démographique qui touche l’occident et une bonne partie de l’Asie. On assiste même en occident à un mouvement volontariste de dépeuplement intitulé : « Pas d’enfants ». C’est un mouvement qui encourage les femmes à ne pas avoir d’enfants en s’appuyant à la fois sur un argument féministe : sans enfant la femme est plus libre et peut consacrer son énergie à sa carrière, à se cultiver ou à se divertir, mais aussi sur un argument écologique pour faire entrer ce mouvement dans le camp du bien. Il est évident que sans humanité, le bilan carbone serait des plus favorables. On passe ainsi du choix personnel tout à fait licite à un choix politique. Je me rends compte que la vieillesse a au moins un avantage, celui de ne pas assister à la catastrophe future. Illustration : Gustav Klimt : « Espérance »

    PS (Courrier international, le 7/11/23) “Dans deux mois, les Palestiniens auront compensé” les pertes humaines liées aux bombes israéliennes “grâce aux 50 000 femmes enceintes” de la bande de Gaza, affirme le chef d’un journal libanais pro-Hamas. La journaliste et écrivaine libanaise Najwa Barakat dénonce un “mépris pour la vie humaine”.


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  • Et si c’était une illusion ?Tableau d'Emile Vernet-Lecomte (1837) représentant la répudiation par Abraham d'Agar et de son fils Ismaël qui devint l'ancêtre des Arabes. L'Egyptienne Agar était la servante de Saraï qui, étant stérile, encouragea son époux Abraham à coucher avec Agar (avait-il vraiment besoin d'un encouragement ? Il est vrai qu'il avait 85 ans) pour obtenir une descendance. Manque de pot, Dieu qui semble trouver un malin plaisir à compliquer les choses rendit Saraï fertile et elle accoucha quelques années plus tard d'Isaac, ancêtre des Juifs. Une naissance légitime et une jalousie féminine qui poussèrent Abraham à chasser Agar et le demi-frère d'Isaac dans le désert. C'est donc la faute de Dieu si Juifs et Arabes ne constituent pas un même peuple. Mais ses desseins parfois tordus sont impénétrables. (La Bible)

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  • La douceur féminine n’est plus ce qu’elle étaitNous sommes entre deux guerres. Pas encore dans le temps, mais dans l’espace. Entre l’Ukraine et la Palestine, en oubliant des conflits qui se déroulent ailleurs, notamment en Afrique. Il y a des morts qui nous touchent plus que d’autres ou plutôt des morts plus silencieux que d’autres. Les chaînes de télévision, ne parlons pas des réseaux sociaux que je ne fréquente pas, ont du grain à moudre, et les galonnés ont succédé aux blouses blanches sur notre petit écran. Moi, qui suis horriblement stéréotypé, j’avoue être surpris de constater que sur une chaîne d’information comme LCI, ce sont habituellement de jeunes femmes charmantes, à la voix douce, qui expliquent en détail aux téléspectateurs les qualités et les défauts des armes de mort utilisées par les belligérants, la stratégie des armées en présence, cartes à l’appui, anticipant le mouvement des troupes et les erreurs faites par les uns et les autres, en faisant le bilan des tués, des blessés, futurs amputés. Elles exposent doctement les modalités des carnages devant les généraux - masculins – présents sur le plateau, pris à revers et qui n’ont plus qu’à opiner du képi. La douceur féminine n’est plus ce qu’elle était, et on se met à regretter parfois la parité qui amène les femmes à partager avec les hommes ce qu’ils ont de pire. Illustration : Frédéric Font "Femme en noir et blanc'"


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  • Mal nommer les choses…« Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde » disait Albert Camus. On peut se poser la question si la dénomination des choses n’a pas eu une certaine influence dans les évènements au Moyen Orient. La terre aujourd’hui si disputée par les Arabes et les Juifs s’appelait la Judée du nom de ses habitants dans l’Antiquité. Mais pour punir les Juifs de leur révolte, l’Empereur Hadrien lui donna un nom dérivé de celui de leurs ennemis, les Philistins, et la Judée devint la Palestine, une façon d’en exclure les Juifs. Le seul état palestinien ayant duré des siècles fut un état juif (et même deux : Israël et Judée), en dehors du Royaume Franc de Jérusalem qui dura 200 ans vers l’an mille. Après le retrait de l’Empire Ottoman, et avec l’occupation anglaise et la création par les Anglais d’un « foyer juif » (déclaration Balfour de 1917) de nombreux Juifs revinrent en Palestine s’ajoutant à ceux qui y étaient restés. En 1947, la Palestine fut divisée en trois par l’ONU : un état juif, un état arabe, et une zone autour de Jérusalem sous contrôle international. Là, encore, c’est un problème de nom : alors que les Juifs venaient et vivaient en Palestine et dont beaucoup rêvaient, le nouvel état juif fut baptisé « Israël », il aurait pu tout aussi bien s’appeler Palestine (bien que n'en recouvrant qu'une partie) et les Juifs seraient devenus des Palestiniens. Nous ignorons comment les Arabes auraient appelé leur Etat car les voisins arabes ont fait de suite la guerre aux Juifs pour récupérer le morceau de terre qui leur avait été attribuée. Une guerre qu’ils ont perdue et avec elle l’état arabe. C’est ainsi que le malheur commença.


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  • Quand un musulman fanatique se livre à une agression barbare, on entend de suite la litanie : « pas d’amalgame » pour ne pas rejeter la responsabilité de cet acte sur l’ensemble des musulmans dont la majorité serait pacifique. Les dernières prouesses des islamistes du Hamas en Israël constituées spécifiquement de massacres de civils de tous âges, les femmes de préférence enceintes ou bonnes à violer et les enfants jusqu’au nourrisson, le « pas d’amalgame » a du mal à passer. Car que voit-on ? Les foules musulmanes dans le monde entier crier victoire, sans aucune réprobation pour les actes barbares commis par leurs coreligionnaires, et encourageant, au contraire, à continuer le massacre, des Juifs bien sûr, mais aussi de non musulmans. Des civils, femmes, vieillards, enfants meurent aussi à Gaza sous les bombardements, et si la mort d’un enfant est toujours tragique, qu’il soit juif ou palestinien, les Israéliens ne cherchent pas à tuer spécifiquement les civils et essaient au contraire à l’éviter, ce qui n’est pas le souci du Hamas pour sa propre population car il aime à étoffer sa collection de martyrs que leurs chefs, courageusement installés dans les Etats du Golfe, pourront exhiber pour soulever le monde musulman. Les uns sont massacrés et les autres qui les ont massacrés se considèrent comme des victimes après avoir déclenché la guerre. « Pas d’amalgame », d’accord, mais où sont les musulmans pacifiques pour protester contre les atrocités commises par le Hamas et en avoir honte, alors qu'ils sont les principales victimes de leurs extrémistes ? J’ai plutôt entendu des approbations ou un silence qui en dit long, et on n’hésite pas à défiler immédiatement en soutien aux auteurs de l’un des pogroms les plus meurtriers de l’histoire en mettant en avant la cause palestinienne, qui existe, mais le Hamas ne s’intéresse pas à cette cause car pour lui la solution est le génocide des Juifs. Quant aux non musulmans qui parlent de résistance plutôt que de terrorisme, ils sont pires : ce sont des salauds.


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  • L’altruisme n’est plus ce qu’il était

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  • A la vie, à la mortIl y a de nombreuses années, lors d’un des nombreux conflits israélo-arabes, j’avais entendu sur les ondes, rapporté par un journaliste, qu’un Palestinien avait dit à un Israélien : « nous vaincrons car vous aimez la vie, alors que nous aimons la mort ». Les Juifs, qu’ils soient pratiquants ou non, comme d’autres, ont un grand respect de la vie. Jusqu’à présent, leur souci de préserver des otages, de tout faire pour les sauver fut constant. Cette fois, la sauvagerie voulue par le Hamas fut telle qu’il est possible que la préservation de la vie des otages ne soit plus une priorité absolue si elle entrave les opérations militaires. Quant au Hamas, il a volontairement provoqué par ses actions le déclenchement d’une guerre sans merci, et exposé à la mort la population palestinienne dont il a pris la charge. Il s’oppose même à son évacuation pour produire davantage de martyrs qu’il exhibera au monde afin de soulever la colère des foules arabes et justifier a posteriori sa barbarie qui a déclenché cette guerre. Les Islamistes aiment la mort et s’en servent. Les Chrétiens, sans l'aimer, ont incontestablement un goût pour la mort, leur symbole est  tout de même un instrument de torture romain, et ils  exposent précieusement des reliques qui sont le plus souvent des bouts de cadavres. Si la raison d’exister des religions est de gérer la mort et sa consolation en offrant un devenir à notre disparition, l’islam déroule un catalogue d’offres alléchantes invitant quasiment à mourir, et c'est souvent en tuant que ses fidèles en acquièrent l'usufruit. Les offres du christianisme sont plus aléatoires. En cette matière, je connais mal les offres du judaïsme qui se borneraient, je crois, à une résurrection et une vie éternelle dont on peut se demander s'il s'agit d'une récompense, ce qui prouve de sa part une communication qui laisse à désirer, mais il est vrai que cette religion n’est guère prosélyte puisque s’il est facile d’en sortir, il est difficile d’y entrer. Illustration : L'Enfer (Dante) Bartolomeo di Fruosino


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  • Un attentat au couteau a été commis aujourd’hui dans le lycée Gambetta d’Arras par Mohammed Mogouchkov, issu d’une famille ingouche et ancien élève du lycée. Arrivé en France à l’âge de 5 ans, il était inscrit cette année en langues étrangères appliquées. Exemple d’un échec de l’intégration lorsque que l’on migre avec un bagage islamique transporté ou transmis. Il était déjà sous surveillance de la DGSI et avait été contrôlé hier, ce qui prouve l’efficacité de ces contrôles. Comme il fallait s’y attendre, un membre du gouvernement réagissant à cet attentat, qui a fait trois victimes, dont le professeur Dominique Bernard qui fut mortellement touché, prononça l’inévitable « inacceptable ». Un mot d’une particulière vacuité puisque l’acte a déjà été commis, mais qui sous-entend – stupidement - qu’il existe des attentats acceptables. Une journaliste s’est également posée une question d’une profondeur abyssale : « reste à déterminer la motivation de l’agresseur ». On voit que le journalisme de ce niveau consiste à sortir du tiroir mental des phrases toutes faites. Si le mot inacceptable me donne le prurit, le mot « déséquilibré » qui est également apparu dans les commentaires a redoublé mon irritation. D’abord l’équilibre est une notion difficile à définir. Pour la majorité des gens l’équilibre consiste à savoir où est le Bien et où est le Mal, ce qui ouvre la discussion de la définition du Bien et du Mal, qui dépend évidemment de chaque individu et de l ‘éducation qu’il a subie ou dont il a bénéficié. Subir ou bénéficier, le Mal et le Bien jugés subjectivement. Les fanatiques, notamment religieux, peuvent très bien considérer que le Mal est le Bien et vice-versa. La morale du fanatique est celle qui le conduit à son but. Est-il « équilibré » de tuer des enfants et même des bébés à la kalachnikov ? Selon les critères des personnes dites équilibrées, tous les fanatiques sont déséquilibrés. Il y en a même quelques-uns qui évitent procès et condamnation après examens psychiatriques (dont on connaît la fiabilité) comme cet Africain jugé non responsable de ses actes (le prise de cannabis étant une circonstance atténuante) bien qu’ayant jeté dans le vide sa voisine juive après l’avoir rouée de coups.


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  • Les palestiniens du Hamas se sont livrés à la fin de la semaine dernière à des actes de barbarie extrêmes en Israël, voulus, organisés, filmés, diffusés. Des actes dont ils sont fiers et qu’ils ont voulu partager avec le monde entier, et notamment avec le monde musulman où ils vont passer – semble-t-il - pour des héros. La barbarie est donc apparemment une valeur du monde arabo-musulman, et les Etats musulmans qui avaient signé des accords de normalisation avec Israël ou qui comptaient le faire, au lieu d’être horrifiés par les crimes contre l’humanité perpétrés par leurs coreligionnaires et le dire, regrettent de l’avoir fait ou hésitent à continuer dans cette voie en constatant que la « rue » de leur pays soutient les palestiniens du Hamas, malgré ou à cause de leurs actes de barbarie, et parait plutôt fière que des arabes régulièrement vaincus par l’Etat hébreux aient pu surprendre la vigilance des forces de sécurité israéliennes qui, jusqu’à présent, avaient la réputation d’invincibilité. Existe-t-il un fossé entre le monde judéo-chrétien et le monde islamique ? Le monde judéo-chrétien n’est pas exempt de barbarie extrême, et même à grande échelle, mais il n’en est pas fier et cherche habituellement à la cacher ou à la minimiser aux yeux du monde, ce n’est jamais un motif de fierté comme il peut l’être dans le monde islamique tel que nous le constatons aujourd’hui.


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  • Si elle pense, sait-elle qu’elle est ?Ne connaissant rien à la programmation informatique, j’ai été stupéfait comme tout le monde par les prouesses de ChatGPT lorsque ce produit a été ouvert au public. J’ai pu tester la chose en médecine où les réponses ont été sensées, en notant la prudence de la machine qui invitait l’interrogateur à consulter son médecin. Dans l’avenir, on se demande si ce passage obligé sera toujours proposé, et il est certain que ce sera plutôt le médecin qui interrogera la machine en se pliant à son diagnostic. Ce qui me stupéfie dans l’IA ce n’est pas sa capacité à trouver les connaissances à la vitesse de la lumière, c’est d’en faire un texte cohérent, argumenté, nuancé, avec un style correct…et le sens moral insufflé par ses programmateurs. Il était donc fatal que cette machine à la mémoire encyclopédique, disponible instantanément, et surtout capable de mettre en forme le résultat de sa recherche, vienne concurrencer tous les métiers basés sur des connaissances intellectuelles, producteurs d’images et de documents même sophistiqués comme un discours ou une production littéraire jusqu’à l’imitation. L’IA va donner toute sa valeur aux métiers manuels et dévaloriser la plupart des métiers intellectuels, voire celui de programmateur. On a vu la grève des scénaristes à Hollywood qui se sont posés la question de leur survie. Et nombre d’entreprises productrices de documents qui se servent déjà de l’IA « générative » vont être tentées de remplacer l’humain pensant par la machine « diseuse ». L’entreprise Onclusive, spécialiste de la communication va supprimer 237 postes qualifiés sur 383 ! Effrayant. Egalement effrayante sera la production difficile à détecter de fausses images, de personnages prononçant de faux discours en toutes les langues, de faux documents, ces créations venant étayer les mensonges qualifiés de « vérités alternatives ». Mais comme le montre l’entrefilet ci-dessus tiré du Canard enchaîné du 4/10/23, ces machines sont voraces et peu respectueuses de l’environnement. Reste à comparer le coût écologique de l’IA et de l’humain. Enfin, si elle pense, sait-elle qu’elle est ? L’IA sera-t-elle un jour douée de conscience ?... Ou l'est-elle déjà ?


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