• Vent de panique

    Cette photo a été prise par Rémy Gabalda (AFP) à Avignonnet-Laurageais en Midi-Pyrénées.

    Eoliennes impressionnantes qui peuvent atteindre 200 mètres de haut, proches d’un petit village où l’église parait ridiculement petite à côté de ces monstres de béton et de métal que je trouve pour ma part très antipathiques.

    Elles ont ouvert les appétits des industriels qui cherchent à les implanter à proximité immédiate des habitations. Les municipalités subissent des pressions par les sociétés d’exploitation non pour implanter quelques éoliennes mais des parcs qui multiplient les nuisances, notamment sonores.

    Ecologie ? Ces géants perturbent les animaux, enlaidissent les campagnes et brassent plus du vent qu’ils ne donnent de l’énergie. Comme l’a dit Nicolas Hulot : « au départ, l'énergie éolienne est une très bonne idée, mais à l'arrivée, c'est une réalisation tragique. Si on nous disait au moins que cela permettrait de fermer des centrales, mais ce n'est pas le cas ».

    Un rapport de l'Académie nationale de médecine, publié en 2006, conclut à la nécessité de suspendre (ou interdire) l'édification des éoliennes d'une puissance supérieure à 2,5 mégawatts situées à moins de 1 500 m des habitations en raison des conséquences qu’elles peuvent induire. Pas à moins de 2,5 km selon certaines études scientifiques récentes. Les troubles provoqués (fort divers, mais fort désagréables pouvant conduire à d’authentiques dépressions) ont été groupés sous le nom de « syndrome éolien ». Les animaux et notamment les oiseaux doivent probablement le subir et peut-être davantage que les humains sans pouvoir en parler. Vous avez dit écologie ?

    Source : Article de Dr Laurent Chevallier (Le Point.fr)


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  • L’article précédent montre l’importance du trafic de faux médicaments qui se déversent sur l’Afrique, là où les services de santé peuvent être défaillants, le contrôle insuffisant et l’offre de soins onéreux. Aussi la pauvreté pousse les gens à se procurer de prétendus médicaments à moindre coût sur les marchés. Profiter de la maladie des autres pour se faire de l’argent sans fournir le moindre service en retour et prétendre en fournir un, n’est malheureusement pas l’apanage de ces laborantins sans scrupules.

    Le virus de la corruptionEn ce moment au Liberia où sévit la maladie à virus Ebola, on fait encore davantage dans l’ignominie. On sait que la population reste réfractaire aux mesures prophylactiques et les autorités ont du mal à les imposer. Les gens restent incrédules sur la nature et les causes de cette épidémie, allant jusqu’à accuser les soignants d’en être responsables (et notamment les blancs venus à leur secours).

    Les rites funéraires au Liberia comportent une exposition des corps pendant plusieurs jours et les proches viennent leur rendre visite et les embrasser avant qu’ils ne soient enterrés ou incinérés. Ces rites pour les morts par le virus Ebola sont évidemment interdits car ces cadavres exposent à un très haut risque de contamination. Des brigades assurent le traitement des dépouilles.

    Les permis d’inhumer ne sont délivrés qu’aux seules personnes pouvant présenter un certificat confirmant que le défunt n’avait pas été contaminé par le virus Ebola. Et que croyez-vous qu’il advint ? D’après une enquête du Wall Street Journal, certains agents des équipes chargées de l’évacuation des corps proposent aux familles d’acheter de faux certificats de décès pour une somme qui va de 40 à 150 dollars, permettant ainsi de promouvoir le baiser qui tue.


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  • Selon l’OMS, la contrefaçon pharmaceutique pourrait concerner 15 % des médicaments en circulation dans le monde, 30 à 40 % en Afrique, et près de 50 % de ceux vendus sur Internet !

    Les saisies record de produits pharmaceutiques illicites par l'Organisation mondiale des douanes (OMD) et l'Institut de recherche contre le faux médicament (IRACM), ont été effectuées entre fin mai et début juin 2014, dans quinze ports maritimes d'Afrique. En dix jours, 113 millions de produits pharmaceutiques illicites et potentiellement dangereux ont été interceptés par les douaniers, principalement au Bénin, en Tanzanie et en République démocratique du Congo.

    Plus de la moitié des médicaments saisis cette année sont des antalgiques, des anti-inflammatoires et des antibiotiques (et dans 17 % des cas des antituberculeux)

    On considère que 75 % des contrefaçons proviendraient de Chine et d’Inde ; la moitié d’entre elles transitant par Dubaï pour empêcher toute traçabilité. L’Inde semble de plus en plus impliquée : 90 % des produits interceptés lors de la dernière opération proviennent de ce pays.

    Le trafic des faux médicaments est très lucratif. « Pour 1 000 dollars investis, le bénéfice généré peut atteindre jusqu’à 500 000 dollars » Alors que pour le trafic de drogue, ce bénéfice tourne autour de 20 000 euros. La contrefaçon de médicaments est d’autant plus attractive que les contrôles sont quasi inexistants et la législation n’est guère dissuasive : les peines infligées aux trafiquants sont le plus souvent de simples amendes ou de courtes peines de prison.   

    Bien qu’il soit difficile de préciser les conséquences pour les malades de ce trafic, il serait à l’origine du décès de 100 000 personnes tous les ans en Afrique selon l’OMS.

    Source : Journal international de Médecine (15/10/14)


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  • Imaginez qu’après mûres réflexions, vous achetiez un produit, et que votre commande ait bien précisé que votre choix portait sur le lot n° 380 dont vous connaissiez bien les caractéristiques, et que par suite d’une erreur d’écriture on vous ait livré le lot n° 330 sans que vous le sachiez ? Bien sûr, vous vous dites, en tant que consommateur (trice) averti (e), le magasin a l’obligation de vous reprendre le lot n° 330, et de l’échanger contre le lot n° 380 choisi. D’ailleurs, il existe un temps légal de réflexion pendant lequel vous avez même la possibilité d’annuler votre achat.

    Cependant, Mme Jennifer Cramblett, habitant Uniontown (Ohio), avait déjà utilisé le produit sans y prendre garde, l’apparence étant la même, et c’est seulement cinq mois après qu’un vendeur du magasin de Chicago, où le produit avait été acheté, l’a averti de l’erreur commise.

    Mais vous vous dites, qu’après tout, Jennifer avait utilisé ce produit sans inconvénient pendant cinq mois, et elle l’a même utilisé neuf mois, au terme duquel elle a accouché d’une charmante petit métisse prénommée Payton (« ton salaire » en quelque sorte).

    Cette lesbienne caucasienne (mariée à une autre lesbienne) réclame à la clinique, deux ans après la naissance, une indemnité d’un montant de 50000 dollars car « le fait que son enfant soit métisse la fait pleurer, la rend déprimée et en colère ». Lesbienne mais un peu raciste. (A noter que Payton pourrait aussi évoquer « ton indemnité ». La clinique avait seulement proposé de rembourser l'achat)

    Les manipulations de la procréation nous réservent de belles surprises dont celle de l’eugénisme qui, en fait, n’en est plus une, et l'on peut rapprocher cette histoire de celle du couple australien, parti avec l'enfant sain en laissant l'enfant trisomique à la mère porteuse.

    On ne peut s’empêcher de penser que si Jennifer avait tout simplement couché avec un homme de son choix (ou à la rigueur utilisé son sperme), elle aurait au moins su qui aurait été le père de son enfant.

    Si « naître, c’est être voulu », je plains la petite Payton, maintenant âgée de deux ans, et sa réaction est à craindre lorsqu'elle sera en âge de comprendre.

    Un lot surprise


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  • Gros grain de folie

    Vous vous souvenez sans doute qu’en 2012, le groupe salafiste « l’Association islamique égyptienne » avait averti les musulmans de ne pas manger de tomates car celles-ci étaient manifestement chrétiennes puisqu’une tomate coupée en deux montre, à l’évidence, une croix (de Malte) en son sein (voir)

    On ne peut s’imaginer à quel point les fruits et les légumes portent en eux de vices et de dépravations. Ne serait-il pas temps de classer X les étals des marchands qui exposent à la vue de tous ces nourritures terrestres suspectes ?

    C’est dans ce sens qu’à Mossoul, l’EI veille à éviter toute promiscuité entre les légumes de sexe opposé, et c’est à juste titre que la police des djihadistes veille à la séparation sur les étals des aubergines et des tomates (du genre féminin) soigneusement mises à l'écart des concombres (du genre masculin).

    Manquerait plus qu’un concombre musulman introduise sa graine dans une tomate chrétienne !


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  • María Teresa Rivera ignorait qu'elle était enceinte quand elle a eu un malaise dans l'usine de confection où elle travaillait. Elle a été transportée d'urgence à l'hôpital où l’on a constaté qu’elle faisait une fausse couche. Situation déjà éprouvante pour cette femme. Mais le pire est à venir. Maria Teresa Rivera est Salvadorienne et le Salvador est un charmant pays d’Amérique Centrale qui interdit l’avortement en toutes circonstances, même lorsque la vie de la mère est en danger.

    En raison de cette interdiction totale, les avortements clandestins sont fréquents et les méthodes utilisées très dangereuses pour la santé. Selon l’Organisation mondiale de la santé, 11% des femmes qui ont subi un avortement clandestin au Salvador sont décédées des suites de cette intervention. Et cerise sur le fœtus, même les femmes qui font une fausse couche risquent la prison.

    Maria Teresa n’a pas eu de chance, bien que n’ayant pas eu recours à un avortement clandestin, pendant son hospitalisation un membre charitable du personnel, nimbé de bonté christique, l'a dénoncée à la police. Et Maria Teresa a été jugée et déclarée coupable d'homicide aggravé.

    Elle purge actuellement une peine de 40 ans de prison ! Mais elle aurait pu écoper de 50 ans comme le prévoit la loi de ce pays chrétien (surtout catholique)

    Il semble que les autorités salvadoriennes soient surtout capables de poursuivre et de sévir contre les « homicides » fœtaux. Le Salvador est, en effet, l'un des pays les plus dangereux au monde, avec plus de 16 000 homicides depuis juin 2004. D'après les estimations disponibles, le taux de meurtres par 100 000 habitants aurait été entre 64 et 68 en 2007 et serait de 69,2 en 2011 (il serait en France de 1 en 2012)

    Source : [ Amnesty.ch]


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  • Hier, les députés ont adopté le projet de loi de « lutte contre le terrorisme » avec interdiction de sortie du territoire des ressortissants français, assortie d’une confiscation du passeport et de la carte d’identité pour toute personne soupçonnée de vouloir partir mener le djihad.

    D’abord, il faut appeler les choses par leur nom, il ne s’agit pas d’une « lutte contre le terrorisme », mais d’une lutte contre l’islamisme. Les coupeurs de têtes font partie de l’Islam, ils s’en revendiquent avec une force suffisamment démonstrative pour leur concéder cette appartenance.

    Ensuite, pourquoi ne pas les laisser partir ? Pourquoi s’opposer (certes, faiblement) au désir de ces néophytes de rejoindre le paradis des martyrs ? Il faut bien que jeunesse trépasse. Mais le drame est qu’ils ne pourront pas être tous élus. Beaucoup reviendront, soit un peu lassés de la monotonie du découpage de têtes, soit avec l’espoir de découper un jour des têtes dans les lieux de leur enfance dont ils ont, comme chacun, la nostalgie.

    La question n’est pas de les laisser partir ou non, le problème est de les laisser revenir, ce qui leur permet de raconter leurs exploits autour d’eux en toute liberté, et de recruter d’autres adeptes fanatiques. L’islamisme ayant déclaré la guerre à tout ce qui n’est pas l’Islam, et même à la partie de l’Islam qui ne lui convient pas, ceux qui reviennent sont des ennemis de la République Française, et étant Français eux-mêmes ce sont des traîtres à la patrie. Quel est le sort que l’on réserve à ceux qui sont passés à l’ennemi en pleine guerre ?

    Comme le déni est la forme habituelle de gouvernance, cette guerre est niée tout en envoyant pacifiquement nos avions bombarder les colonnes de l’ennemi qui comportent dans leurs effectifs de 1000 à 3000 ressortissants français.

    Si ces traîtres ont la malchance de revenir, ils subiront la redoutable torture d’être surveillés de temps à autre. La récente loi montre bien que l’on ne plaisante pas avec ces choses.


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  • Pauvre Mélenchon

    Images tirées du Point du 18/08/14

     

    Pauvre Mélenchon réduit à s’acoquiner avec Jérôme Kerviel pour illustrer son anticapitalisme, jusqu’à comparer sa propre attitude à celle de Jaurès lors de l’affaire Dreyfus.

    Pauvre Mélenchon faisant quasiment la bise à cet ancien trader mégalomane plus que douteux, faussaire et manipulateur, qui serait à l’origine d’une perte pour la collectivité de la bagatelle de 1,7 milliard d’euros.

    Pauvre Mélenchon éprouvant le besoin d’inviter à la fête de l'Huma ce personnage suffisamment habile pour devenir médiatique en raison même de l’étendue de son échec, jouant au pseudo rebelle en réclamant une meilleure régulation de la finance alors qu’il a passé son temps à la contourner, coupable jouant à la victime, car s’il a lamentablement échoué dans ses prétentions, il aurait été pleinement heureux si son jeu avec l’argent des autres lui avait rapporté la prime qu’il espérait de la part de la Société générale.

    Pauvre Mélenchon s’alignant sur l’Eglise pour pardonner au pécheur repenti son péché capital.

    Pauvre justice qui se croit obligée de mettre à la cheville de Kerviel un bracelet électronique qui ne sert strictement à rien dans son cas, ses déplacements étant amplement médiatisés, et une fuite étant pour lui sans intérêt. Un bracelet qui n’empêcherait aucunement cet ancien trader de jouer avec l’argent des autres si ce jeu lui était à nouveau proposé.

     


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  • Si eux aussi nous quittent.En tant que Français, je suis vexé, je me sens même un peu méprisé. Voilà des années que l’on voit une coagulation d’Africains dans la ville de Calais, venant le plus souvent d’Erythrée. Ils ont traversé au péril de leur vie une partie de l’Afrique et la Méditerranée. Les survivants ont mis le pied en Europe, ils ont traversé notre beau pays en lui accordant à peine un regard (mais il n’est pas certain qu’ils aient eu le loisir de le regarder) pour aboutir enfin à Calais avec la volonté farouche de traverser la Manche et rejoindre l’Angleterre, multipliant les tentatives sans se lasser, et en prenant des risques à chaque fois.

    Si eux aussi nous quittent.Pourquoi ce mépris pour la France alors que nous avons un Etat-Providence bien meilleur que celui d’Albion ? Pourquoi préférer les Anglais alors que nous sommes si sympathiques et que le climat est plus agréable en France qu’en Grande-Bretagne ? Il n’est pas beau notre pays avec ses 350 fromages ? Les allocations et l’assistance médicale d’Etat ne sont-elles pas suffisantes ? Mais non, ils sont constamment plus d’un millier à vouloir quitter notre sol en s’introduisant en catimini dans les transports en partance pour les îles britanniques. Souvent découverts et rejetés, ils recommenceront le lendemain, avec l’idée fixe de nous quitter à tout prix.

    Vous ne trouvez pas ça vexant ? On va si mal que ça ?


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