• De quoi remonter le moral

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  • Chaque jour nous amène son lot d'agressions sexuelles commises en général par des hommes et révélées par des femmes et plus rarement des hommes. Ce sont des personnalités connues qui sont accusées de faits datant de quelques années et de préférence lorsqu'elles accèdent à un poste qui attire l'attention. Vraies ou fausses, mineures ou majeures, ces accusations font les délices des réseaux sociaux, et utilisées à des fins politiques, en particulier par des féministes dont le féminisme est à géométrie  variable, menaçant pour les accusés du camp opposé, tolérant pour les copains et davantage encore pour les "racisés" que pour les blancs. Si les agressions sexuelles exhalent chaque matin leur parfum de scandale, elles sont vieilles comme le monde sexué, mais traitées dans le passé sur un ton badin en fournissant un des thèmes de l'art pictural. En voici quelques exemples:

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  • SadomasochismeA l’occasion du retour prévu en France de femmes (et d’enfants) ayant rejoint volontairement l’Etat islamique et qui devront être jugées pour leurs actes plus ou moins sanglants commis au nom de leur Dieu miséricordieux, la télévision a montré des images de leurs silhouettes noires déambulant comme des corbeaux sans ailes dans les camps du Moyen-Orient où elles sont détenues sous la garde des Kurdes. Il est difficile de comprendre comment le fanatisme peut conduire à s’annihiler soi-même, à devenir l’ombre d’un être humain, dans une noirceur confinant à l’invisibilité, il y a là un masochisme à ciel ouvert. Quant aux Occidentaux, ils font preuve d’une indifférence sadique à l’égard des Kurdes devenus gardiens de prison pour nous, après avoir combattu et vaincu les islamistes en notre nom, et que l’on laisse à découvert à la suite d'un marchandage pour que le Turc les extermine à sa guise. Honte.


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  • Pêche

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  • A la recherche de l’incohérenceJ’ai consacré plusieurs billets aux Ig Nobel, cérémonie fantasque qui couronne chaque année des travaux scientifiques insolites, pour ne pas dire farfelus quant aux objets de recherche, mais réalisés avec tout le sérieux que l’on peut exiger de chercheurs. Un article dans un magazine (à propos de la sortie d’un nième livre du graphomane compulsif Michel Onfray) me rappelle qu’il existait à la fin du XIXe siècle un mouvement artistique lancé en 1882 par l’éditeur Jules Lévy à l’origine d’expositions d’œuvres dont le but principal était de faire rire en montrant au public des productions incohérentes. « Tous les matériaux peuvent être utilisés, toutes les inspirations, tous les thèmes. Le but est de faire rire, par tous les moyens ». Heureuse époque entre la guerre de 1870 et celle de 1914 où il fallait, en effet, se dépêcher de rire pendant ces quatre décennies.

     

     

    L’article que j’ai parcouru (et inspiré du livre d’Onfray que je n’ai pas lu) A la recherche de l’incohérencesignale comme œuvres : « La vénus de mille-eaux », sculpture recouverte d’étiquettes d’eaux minérales, « Les pieds », sculpture sur fromage. On doit à ce mouvement le premier monochrome, œuvre du dramaturge Paul Bilhaud intitulé : « Combat de nègres pendant la nuit » (qui aurait été probablement « effacé » aujourd’hui), imité l’année suivante par Alphonse Allais qui exposa un monochrome rouge qu’il intitula : « Récolte de la tomate par des cardinaux apoplectiques au bord de la mer Rouge ». Aujourd’hui, on rit beaucoup moins devant les monochromes contemporains exposés par des « artistes » qui se prennent au sérieux. Le premier monochrome (politiquement incorrect) : A la recherche de l’incohérence


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  • ColoriageAndy Warhol fait mon admiration. Non par ses œuvres que j’éviterais d’accrocher sur les murs de mon salon, mais pour sa personne. Illustrateur publicitaire, il a réussi à devenir l’un des artistes majeurs du XXème siècle, et le plus grand représentant du « pop art » en produisant des images de boîtes de soupe et des coloriages de photos plus ou moins remaniées de personnages célèbres. Cette photo remaniée de Marylin Monroe vendue 195 millions de dollars est tout de même à couper le souffle, non par le résultat du coloriage, mais par le prix de vente. Il s’agit d’une œuvre représentative du « pop art », c’est à dire d’un art dit populaire qui n’est manifestement pas destiné au peuple mais à une fraction friquée, snob ou spéculatrice de la population. Certes, ces artistes du « pop art » utilisent pour fabriquer leurs oeuvres des éléments répandus comme des photos ou des bandes dessinées appréciées par beaucoup de monde, mais colorier une photo et en multiplier les exemplaires ne me paraît pas une preuve de génie, sinon de génie commercial.


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  • "Barabarie à visage humain"Deux Images juxtaposées cueillies dans l'Express


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  • Prévention de l'addiction au sexe

    C'est très très vilain d'être islamophobe. Il est vrai que le taliban bande à part. Notons que la burqa n'est obligatoire que pour les femmes "baisables", "ni trop jeunes ni trop vieilles". C'est donc plus une mesure prophylactique pour préserver le mâle en rut que de la misogynie


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  • Hier, nous sommes allés revoir la maison de Claude Monet et ses jardins à Giverny. Le Soleil de la journée a illuminé les fleurs de printemps : une explosion multicolore, un feu d'artifice naturel défiant les peintres et affolant les photographes. Il est consolant de voir que beaucoup de monde s'était déplacé à 75 km de Paris pour jouir de la beauté du lieu.

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  • Se prendre la têteSur la butte Montmartre, près de l’Allée des brouillards, il y a un square charmant où je vais souvent lire. Il porte le nom d’une résistante, Suzanne Buisson, qui faisait partie du Comité directeur de la SFIO clandestine, elle est morte dans un camp d'extermination. Ce square est équipé d’un terrain de jeu de boules, c’est d’ailleurs le deuxième que je connais sur la butte. Une fontaine égraine le bruit de l’eau, source de sérénité. Aujourd’hui, pour la première fois ( !?) j’ai regardé plus attentivement la statue qui surmonte la fontaine en dominant le terrain de  boules, et j’ai pris enfin conscience après quelques années (admirez mon sens de l'observation !) qu’il s’agissait de la représentation d’un prêtre, un évêque - rien n’est inscrit près de l’œuvre - et sa particularité est de se prendre la tête à deux mains donnant ainsi l’impression de désespérer du monde. Si c’était le cas, je serais d’accord avec lui, mais en fait, je pense que cette statue représente Denis, le premier évêque de Paris, qui fut décapité vers 250 par les Se prendre la têteRomains. Décapité, Denis se serait relevé et aurait saisi sa tête pour marcher jusqu'à l'endroit où sera élevée vers 475 par sainte Geneviève une église devenue basilique autour du tombeau. Remarquons que décapité ou non, la distance à parcourir pour se rendre dans le 93 tient du marathon. Quoi qu'il en soit, traversant Montmartre, le Mont Martyrium, Saint Denis se serait arrêté en chemin à une fontaine pour laver sa tête. Il ne s’agit donc pas de désespoir, bien que les circonstances pourraient amplement le justifier, mais de souci de propreté.


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