• Un salon pas comme les autres

    Un salon pas comme les autresLes agriculteurs l’avaient bien dit : ce salon de l’agriculture ne serait pas comme les autres. En effet, à côté des bêtes à cornes, furent exposées des spécimens à casques et si les vaches aggravent le réchauffement climatique en émettant des gaz riches en méthane, les spécimens à casques émettent des gaz qui font pleurer. Il est sûr que les visiteurs vont être frappés par ces spécimens à casques qui se déplacent toujours en groupes bien serrés et qui obéissent au bâton et à l’œil à nos bergers. Vous remarquerez que sur la photo la vache a l'air intrigué en voyant passer les bipèdes à casques qu'elle n'avait jamais vus, ni dans les prés, ni dans les étables. Elle a plus l'habitude des trains.

    « Quand ça veut pas, ça veut pasLe monde parallèle pour grands enfants »

  • Commentaires

    1
    Samedi 24 Février à 15:50

    Et les bergers ne connaissent rien à l'agriculture !

      • Samedi 24 Février à 15:54

        Pas la même culture.

    2
    Samedi 24 Février à 16:58

    Toujours le petit mot plein de gentillesse, le Président :

       

     

     

      • Samedi 24 Février à 17:24

        Je vais finir par croire qu'il est con.

      • Samedi 24 Février à 20:02

        N'en croyez rien :

        "Tous les politiciens sont narcissiques et leurs ambitions les obligent parfois à être pervers"

        C'est un modèle du genre

         

      • Samedi 24 Février à 20:59

        Excellente citation.

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    3
    Samedi 24 Février à 17:47

    Les ruraux ne sont pas urbains.

      • Samedi 24 Février à 17:52

        Et vice versa.

    4
    Souris donc
    Dimanche 25 Février à 09:27

    Le chouchou du Salon de l'Agriculture : Chirac, au cul des vaches, le mot pour rire.

    Pour boire sa bière : A nos chevaux, à nos femmes et à ceux qui les montent ! (toast de l'Ecole de Cavalerie de Saumur)

    On voit moins Macron dans ce rôle.

      • Dimanche 25 Février à 09:35

        Un tel toast ne serait plus possible aujourd'hui, le coupable serait écartelé en place publique.

      • Souris donc
        Dimanche 25 Février à 11:29

        Ni le Casse-toi pov'con de Sarko, au Salon de 2008, à quelqu'un qui a refusé sa poignée de main avec un Ah non touche-moi pas, tu me salis.

        O tempora, o mores...

      • Dimanche 25 Février à 11:34

        Oui, mais ça lui a collé aux basques, bien que je trouve que Sarko avait eu raison, l'individu qui avait refusé de lui serrer la mains était un malappris.

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