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Le mur
Quand on interroge un dirigeant quelconque on a toutes les chances de l’entendre dire : « si on continue dans cette direction, on va droit dans le mur ». Si on interroge un autre dirigeant quelconque, il est rare qu’il ne dise pas la même chose, mais à propos d’une direction différente et même à l’opposé de celle évoquée par le premier dirigeant quelconque. Autant de dirigeants quelconques, autant de directions à ne pas prendre si on ne veut pas rentrer dans le mur.
On peut en conclure que nous sommes enfermés dans un mur circulaire et que seul un dirigeant capable de traverser le mur permettrait de nous en sortir.
Marcel Aymé avait inventé un personnage « le passe-muraille », modeste employé de bureau, Dutilleul, mais qui avait le don de traverser les murs. Abusant de cette faculté, il finit par la perdre pendant qu’il traversait un mur, si bien qu’il resta figé définitivement dedans, rue Norvins, sur la butte Montmartre à côté du domicile de l’écrivain.
L’acteur Jean Marais a immortalisé le passe-muraille en sculptant en 1989 Marcel Aymé traversant le mur devant sa maison (place Marcel Aymé).
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Commentaires
On s'agite mais on ne bouge pas beaucoup. Cette sculpture est très originale, presque vivante dans la gestuelle.
Droit dans le mur sur un vélo sans frein en actionnant la sonnette joyeusement.
Excellent film avec Bourvil dans le rôle principal.
J'ai adoré le film et le livre Doc. Mais je ne ferais pas référence à ce don de traverser les murailles pour ces politiques qui nous bernent de toutes parts ! Ne serait-ce pas plutôt des girouettes.... ?????? Bon après midi sou un ciel dans mon Ille et Vilaine bien gris et humide. ZAZA
Jean Marais avait toutes les qualités pour être grand artiste... à part la petite étincelle. Cette jolie sculpture le montre bien.
Pas mal du tout la sculpture de Jean Marais, riche idée en tout cas. Je me souviens aussi du film avec Bourvil, un truc assez rigolo mais les trucages m'avaient particulièrement impressionné : consternant! Ils avaient fait ce qu'ils pouvaient avec ce qu'ils avaient, c'est à dire rien...c'est ce qu'il y avait de plus drôle dans cette œuvrette.
Amitiés.
On va dans le mur
C'est le titre du dernier livre d'Agnès Verdier-Molinié, de l'iFRAP, think tank libéral.
la baisse de la dépense publique est une priorité absolue. Mais alors qu'attendons-nous pour passer à l'action ? Face à un système devenu fou, en vérité personne ne sait comment faire. Pourtant on sait que l'empilement - des taxes, des lois, des décrets, des aides sociales, des strates administratives, des régimes de retraite, des exonérations - a produit un monstre dont la complexité et les dérives sont chaque année plus coûteuses pour les Français. Combien de temps encore allons-nous accepter cet insupportable harcèlement ? En comparant les bonnes pratiques en France et à l'étranger et en montrant comment sortir de ce terrible engrenage, Agnès Verdier-Molinié s'attaque à une machine qui doit d'urgence être mise hors d'état de nuire.
(Présentation Amazon)
On va dans le mur, oui, et en klaxonnant.
On va peut-être dans le mur mais j'aime bien l'idée de passe-muraille et la sculpture de Jean Marais... Quant à Agnès Verdier-Molinié.. je trouve qu'on la voit un peu trop à la télé et elle me semble persuadée d'avoir la science infuse avec une dose de suffisance.. par contre elle a dît quelque chose d'intéressant en citant d'autres pays qui ont des personnes compétentes dans plusieurs professions au sein de l'équivalent de notre pole emploi ce qui est tout à fait efficace pour orienter les demandeurs d'emploi.
Bonne nuit Dr Wo
Si on ne s'arrête pas à sa bouche à coins tombants qui lui donne un air suffisant, Verdier-Molinié s'attache à être toujours concrète. Dans son livre, pareil. Une gabegie, son chiffrage, comment la supprimer, avantages en termes non seulement financiers, mais aussi de cohérence et de ...simplification.
Un des "chocs" promis et toujours différés, dans l'attente du grand soir choc dans le mur.
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Le blog sans ordonnance de Paul Obraska
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Le guide suprême a trouvé le temps entre deux pendaisons de se réjouir des manifestations occidentales anti-israéliennes et pro-Hamas. Il pend les jeunes en Iran et les complimente en Occident.
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Je crois en effet, que nous sommes ceint de murailles, autant réelles que figurées, alors ne bougeons pas pour éviter le choc du mur!
Je ne savais pas que Jean Marais avait sculpté Marcel Aymé traversant le mur, j'aime bien ce que faisait Marais, j'ai quelques poteries sculptées par lui elles sont très belles, il y avait en France autrefois de grands artistes...