• Une espèce en voie de disparition universitaire

    L'espèce dont il s'agit est celle de l'homme blanc qui tend à disparaître des campus américains. En général l'Europe suit avec un décalage de quelques années, un décalage qui se réduit progressivement. Aux USA, l'application depuis des décennies de la discrimination positive dont bénéficient les femmes et les minorités (dont les Juifs sont curieusement exclus, peut-être parce qu'ils n'en ont pas besoin),  a abouti à une discrimination négative : celle des hommes blancs, ils dominent encore le professorat, mais deviennent de plus en plus rares dans les instances de direction. Un article de Lawrence M. Krauss ( physicien théoricien et vulgarisateur scientifique) développe dans Le Point ces biais de recrutement basé sur le sexe et la couleur de la peau et qui tendent à écarter les jeunes hommes blancs des universités notamment dans les matières scientifiques. Le recrutement est, en effet, assuré par les bureaux « diversité, équité (sic) et inclusion », désormais hégémoniques dans la quasi-totalité des grandes universités américaines, les initiatives de discrimination positive ont clairement joué sur l'embauche des jeunes professeurs.

     Cet article publie une série de photos  où le jeu pourrait consister à compter les hommes blancs qui y figurent.

    Une espèce en voie de disparition universitaire

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    « 478. C’est la faute à NapoléonQuand ça veut pas, ça veut pas »

  • Commentaires

    1
    Mercredi 21 Février à 17:44

    Je m'en fous, j'ai passé l'âge et en plus j'étais nul dans les matières scientifiques.

      • Mercredi 21 Février à 17:48

        J'en conclus que vous ne comptiez pas postuler pour un poste de professeur de physique.

    2
    Mercredi 21 Février à 18:03

    Rien de bien nouveau... En 2018, Pascal Bruckner publiait un article (de six pages, quand même...!) consacré à "La méchanceté de l'homme blanc" (titre tristement ironique) où il développait les causes et les conséquences du "racisme" anti-mâle blanc (un condensé de ses précédents ouvrages, dont "Le sanglot de l'homme blanc"... en 1983)

    On persiste encore à nos ressasser que le racisme anti-blanc n'existe pas. en France.. Quand certains le dénonçaient il y a 10 ou 12 ans, on les prenait pour des complotistes, racistes et suprématistes... 

    On peut maintenant en parler tranquillement, il est trop tard pour revenir en arrière.

     

     

      • Mercredi 21 Février à 18:34

        Qu'il existe un racisme anti-blanc de la part de noirs (retour des choses) et d'une haine de l'homme de la part des ultra-féministes, c'est certain, ce qui plus frappant, c'est la culpabilité des blancs, comme l'a montré Bruckner, pour des actions de leurs ancêtres dont ils ne sont pas responsables, et qui a abouti à des manifestations ridicules comme de s'agenouiller en signe de pénitence.

    3
    Mercredi 21 Février à 19:47

    Des dizaines d'années de lavage de cerveau, ça laisse des traces.. Et certains s'y plient par conviction (l'"emprise des maîtres à penser", sincères ou imposteurs, bons ou mauvais) ou par conformisme (ne pas se faire remarquer, paraître un bon citoyen convenable et respectueux, rester dans le rang)

     

      • Mercredi 21 Février à 19:57

        On voit d'ailleurs que dès qu'une personnalité (notamment du milieu artistique) sort un peu du conformisme, elle est amenée à s'excuser par la suite pour ne pas être mise en quarantaine.

    4
    Mercredi 21 Février à 20:39

     Recrutent-ils en tenant compte des connaissances, des diplômes et des capacités de ces gens de toutes les couleurs ???

    Ce n'est même pas sur !

      • Mercredi 21 Février à 20:53

        Espérons que la discrimination positive choisit le sexe féminin ou la couleur de peau à compétences égales, mais ce n'est même pas certain.

    5
    Souris donc
    Jeudi 22 Février à 09:21

    La ségrégation est inscrite dans l'histoire des Etats-Unis. La discrimination positive est une Weltanschauung exactement symétrique. Un dédommagement. Une prestation compensatoire.

    Et comme le Coca Cola, le Mac Do et le wokisme, la discrimination positive déferle chez nous. 

    = Eradiquons le mâle blanc, hétéro, raciste, colonisateur et saccageur de planète. N'importe quelle mégère féministe à la Sandrine Rousseau vous le dira.

    A déconstruire et à éloigner du barbecue.

      • Jeudi 22 Février à 09:46

        Une réparation par culpabilité et comme toujours le balancier. va trop loin. De façon paradoxale, ces excès renforcent le racisme qui n'a jamais disparu. Quant à l'ultra féminisme, il semble conduire à une misogynie d'indifférence.

      • Souris donc
        Jeudi 22 Février à 10:22

        Oui mais, y a les stages de drag queen dans les MJC pour conscientiser nos jeunes misogynes.

      • Jeudi 22 Février à 10:38

        Je me demande si c'est traitement efficace pour la sexualité défaillante.

    6
    Brindamour
    Jeudi 22 Février à 10:10

    En matière de culpabilité Je dois être un marginal qu’il faudra après ma mort mettre dans un bocal pour m’étudier à l’université ( par des femmes racisées, cis-genres)

    J’ai la chance et l’honneur d’appartenir à la catégories des hommes blancs hétérosexuels qui depuis 2000 ans ont pratiquement tout inventé et tout découvert. A part peut-être le judo ( les jaunes), et la radioactivité ( Marie Curie). Je me promène sur tous les campus multiculturels pour rappeler cette évidence malheureusement je reçois un accueil mitigé.

      • Jeudi 22 Février à 10:51

        Il est évident que la part des Blancs dans les progrès - surtout scientifiques et technologiques - dans la civilisation humaine est considérable. Pour les femmes, il existe un biais d'importance : les hommes les empêchaient d'accéder aux responsabilités et notamment aux études scientifiques et médicales en les réservant à la gestion du foyer et à la procréation. Depuis que les femmes ont accès aux études, elles sont souvent plus performantes que les hommes.

    7
    Brindamour
    Jeudi 22 Février à 13:45

    Il est vrai qu’il y a maintenant davantage de femmes qui font des études supérieures. Mais vous remarquerez que le domaine de la créativité, technique, artistique, scientifique reste l’apanage des hommes (blancs) et souvent américains. Les exemples foisonnent. Voyez les GAFAM par exemple. Voyez les prix Nobel.

      • Jeudi 22 Février à 14:16

        Ceci est en effet l'existant, cela ne préjuge en  rien de l'avenir. Dans l'histoire humaine l'émancipation de la femme est très récente, quelques décennies, une poussière dans le temps long. Par contre, un mouvement inverse n'est pas impossible, la femme au foyer a ses partisans.

        NB les femmes commencent à avoir des prix Nobel dans les matières scientifiques, et pas qu'un peu.

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