• Les radicalisés ont un bon fond…de commerce

    « Soigner » les individus atteint d’islamisme au stade d’incubation ou d’invasion avant qu’apparaisse la phase aiguë avec son risque létal… pour les autres, semble être une activité lucrative puisque les organismes qui prétendent « déradicaliser » les radicalisés en les débarrassant radicalement d’un germe dangereux dont ils sont porteurs et susceptible de se propager dans la cité, se les arrachent.

    Il semble donc que le radicalisé, euphémisme pour ne pas dire musulman fanatique ou sur le point de le devenir, est également une source de profit et son traitement soumis à concurrence. Le radicalisé serait-il devenu un client comme un autre ?

    Le Canard enchaîné du 12/09/18 fait état d’une concurrence entre l’association Artemis du Groupe SOS dirigé par Jean-Marc Borello (ami de Macron) qui fait miroiter une proposition de « déradicalisation en milieu ouvert » aux dépens d’une autre association (Apcars) pour la région parisienne. Cette dernière association va donc perdre ses 19 radicalisés au profit d’Artemis et devoir licencier 9 personnes qui chouchoutaient ces 19 « patients » particulièrement atteints. Le patron d’Apcars, ainsi dépossédé de ses chers (dans les deux sens) radicalisés, dit « son incompréhension, alors que le marché actuel pouvait être prolongé de deux ans ». Certes, il s’agit d’un marché public, mais qui reste soumis aux règles du capitalisme.

    A noter que dans l’article contiguë à celui qui a servi de source à ce billet, on apprend la fermeture fin 2017 du « centre d’information sur les droits de femmes et des familles » de Lorient car les fonds versés par la préfecture ont été réaffectés à la lutte contre la radicalisation.

    Le marché très onéreux et apparemment lucratif de la « déradicalisation » est en pleine expansion, voire explosif. Il faut avouer que c’est une tentative étonnante, type soins de suite, pour débarrasser les islamistes d’une partie de leurs croyances et des impératifs qui figurent en toutes lettres dans leurs textes fondateurs estampillés d’origine divine. Bon courage.

    « Choses inutiles et périssables276. Un homme n’est pas une femme comme une autre »

  • Commentaires

    1
    Jeudi 13 Septembre 2018 à 12:36
    Pangloss

    Je savais bien que tous ces immigrés musulmans étaient une "richesse" pour la France. Et plus ils sont fanatiques plus ils rapportent. Cela explique sans doute pourquoi les pouvoirs publics les laissent se multiplier.

      • Jeudi 13 Septembre 2018 à 13:40

        Malheureusement ceux-là ne font partie de nos richesses mais de nos dépenses.

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    2
    Jeudi 13 Septembre 2018 à 20:55

    Tous des rigolos:

    "Fondatrice du Centre de Prévention des Dérives Sectaires liées à l'Islam, première organisation du genre en France à lutter contre l'embrigadement, Dounia Bouzar combat sans relâche pour détourner les jeunes du discours si séduisant de Daesh. Nous l'avons rencontrée."

    "1 180. C'est le nombre de jeunes que Dounia Bouzar est parvenue à sortir des griffes de Daesh depuis la création du CPDSI, le Centre de Prévention des Dérives Sectaires liées à l'Islam, qu'elle a fondé avec des experts pour lutter contre l'embrigadement en avril 2014."

     

    (lu sur http://www.bouzar-expertises.fr/, un site objectif et indépendant ) (?)

      • Jeudi 13 Septembre 2018 à 21:05

        La question est : est-ce une dérive sectaire ou l'application littérale et intégrale des textes fondateurs ? Et très peu d'imams osent remettre en cause ces textes en les replaçant dans le contexte historique.

      • Jeudi 13 Septembre 2018 à 21:41

        C'est plus politiquement et sociologiquement correct de parler de "dérive sectaire" qui anticipent déjà un "déséquilibre psychologique"...

        Quant au "contexte historique", tout musulman même très moyennement radicalisé vous fera répéter la question: le coran étant "incréé" (plus exactement: ni "créé", ni "incréé" clown ) donc éternel, il n'y a pas plus de "contexte historique" (concernant la "parole", je vous le concède, le "texte" étant sensiblement différent, selon certains savants cry ) que de chair à saucisse sur la broche d'un kebab !

      • Jeudi 13 Septembre 2018 à 22:25

        Créé ou incréé, là est la question...

    3
    Souris donc
    Vendredi 14 Septembre 2018 à 10:02

    On est vraiment bons et cons, faut dire les choses comme elles sont.

    Gérard Colomb a déjà dû fermer le Centre de Dératisation de l'Indre-et-Loire, prévu pour 25 pensionnaires (et autant de personnels dédiés) et qui n'en n'a jamais accueilli plus de 9. Et à la fin, le dernier qui restait a préféré se tirer au djihad.

    Et forts de cette réussite, ils vont stipendier des assos avec le pognon de dingue soutiré aux retraités pour redistribuer à ce type d'actifs?

    Bons et cons qu'on est. Aucun doute là dessus.

      • Vendredi 14 Septembre 2018 à 10:59

        En tant que thérapeute il me semble que le rapport bénéfice/risque est très défavorable

    4
    Vendredi 14 Septembre 2018 à 11:46

     

    Cette histoire de  déradicalisation est d’autant curieuse dans son principe même qu'elle se fait, si j'ai bien compris, sur la base du volontariat.  C'est quoi un radicalisé qui veut se  déradicaliser ?

    Et si vraiment on pensait pouvoir déradicaliser des individus, pourquoi limiter le traitement aux seuls islamistes (certes les plus dangereux à court terme)  ? Profitons en pour déradicaliser aussi les trotskistes, les maoïstes, les mafieux, les passeurs lybiens, les blogueurs frontistes, les témoins de Jehovah, les abonnés au site You Tube de Dieudonné et les militants de la France insoumise ! smile 

      • Vendredi 14 Septembre 2018 à 12:02

        Vos commentaires sont vraiment indispensables pour nous donner une vue aérienne de la situation. yes

      • Vendredi 14 Septembre 2018 à 14:15

        Vous aurez remarqué que je n'ai pas inclus dans ma liste les membres du parti radical de gauche qui, eux, se sont tellement auto-déradicalisé qu'on souhaiterait même qu'ils se re-radicalise un peu. smile

      • Vendredi 14 Septembre 2018 à 14:48

        Du parti radical il ne reste que l'essence à défaut d'existence.

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