-
La défaite n'est plus ce qu'elle était
-
Commentaires
Moi, président (comme dirait l'autre) je nommerais Mélenchon premier ministre. Une fois la motion de censure votée, je nommerais Bardella premier ministre. Après le refus de ce dernier, je nommerai Sandrine Rousseau. Une fois les éclats de rire terminés, je passerais aux choses sérieuses.
PS : Laurent Berger, ex-leader de la CFDT me plairait bien. Après lui, Cazeneuve, certes pontifiant et chiant comme la mort, mais sérieux.
-
Dimanche 18 Août à 09:22
Je ne jouerais pas avec Mélenchon. C'est un type dangereux, il pourrait très bien organiser des catastrophes vénézuéliennes à coup de décrets et provoquer des manifestations de rue pour et contre : c'est un ferment de guerre civile. Quelqu'un comme Laurent Berger est bien trop sensée pour monter dans cette galère. Cazeneuve n'aurait pas une majorité car même si les socialistes libérés de LFI le soutiendraient, ce ne serait pas le cas du LR et du RN. Quant à Rousseau, l'assemblée est certes un cirque, mai il y a des clowns insupportables.
-
Souris doncDimanche 18 Août à 11:46
Tout sauf Méchancon.
Qui voudrait se faire passer pour un "tribun" alors que sa tchatche est celle du pied-noir.
-
Dimanche 18 Août à 12:24
-
Ajouter un commentaire
Macron aurait perdu ? Soit...
Mais la Macronie joue et gagne.
Macron, ce n'est ni la Macronie, ni la République et ses valeurs et encore moins la France.
Macron, ce n'est rien, un épiphénomène, un "idiot utile" du Monde Nouveau. Qu'il perde ou qu'il gagne n'a aucune importance, la Macronie et l'Européanisme occupent le terrain
Décidément, vous avez une vision très noire de l'évolution historique.