• Jeu : cherchez la femme.

     

    Mosquée au Bangladesh (photo Rehman Asad /AFP/ 25.05.20). Fin du Ramadan.

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  • Commentaires

    1
    Orage
    Lundi 25 Mai 2020 à 13:13

    Au vu de toutes ces robes longues, on pourrait penser qu'il n'y a que des femmes mais...smile

      • Lundi 25 Mai 2020 à 13:16

        C'est un piège.

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    2
    Souris donc
    Lundi 25 Mai 2020 à 14:21

    Ils observent la distanciation sociale.

      • Lundi 25 Mai 2020 à 14:26

        Ce qui aurait permis d'intercaler des femmes en respectant la distanciation érotique.

    3
    Lundi 25 Mai 2020 à 14:36

    Tiens, ils ne sont pas à quatre pattes par terre ? Mais il y en a pas chez eux si au contraire chez nous il y en a plus de femme que d'hommes dans les églises !

      • Lundi 25 Mai 2020 à 14:53

        Les tapis de prière sont préparés pour la position génu-pectorale. Vous avez gagné le jeu : il n'y a pas une seule femme...mais c'était facile. Une question bien plus difficile aurait été de demander combien d'homosexuels se cachent sous ces robes.

    4
    Lundi 25 Mai 2020 à 22:46

    Je crois deviner pourquoi les femmes ne vont pas à la mosquée (ou sont confinées dans une pièce cachée) : Imaginons ce que feraient les fidèles qui se trouveraient juste derrière une Camélia Jordana  non-défrisée et en position génu-pectorale ?  un massacre, à coup sûr !

      • Lundi 25 Mai 2020 à 23:39

        Voilà une explication rationnelle : le principe de précaution.

    5
    Mardi 26 Mai 2020 à 11:06

    Vous cherchez la petite bête. S'il y avait des femmes dans cette foule, ce ne serait plus une prière mais une partouze tant il est difficile à l'homme de dominer ses instincts.

      • Mardi 26 Mai 2020 à 11:17

        On voit bien ici la sagesse d'Allah.

    6
    Mardi 26 Mai 2020 à 18:24

    J'ai eu d'un coup la "vision" des ces dames callipyges en position genu-pectorale sous le nez de ces messieurs ! 

    Merci à vous, à Carlus et Pangloss pour le fou rire à rallonge ! he

      • Mardi 26 Mai 2020 à 18:56

        Quand l'imagination devient friponne. smile 

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