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Deux « Jeanne d’Arc » d’occasion
Deux femmes se manifestent pour sauver la France.
D’abord, Lucie Castets surgie de nulle part, elle se sent investie par une mission quasi divine, désignée parmi tous par l’auguste doigt mélenchonien à travers les nuages d’un ensemble gazeux. Lucie se sacrifie pour la cause en abandonnant ses fonctions à la mairie de Paris. Quand on est ainsi désignée par le destin et des forces supérieures, on comprend son obstination et sa rage impatiente à faire enfin de la France un Venezuela européen.
Ségolène Royal est notre seconde « Jeanne d’Arc », depuis un certain temps, toujours prête à se sacrifier sur l’autel du pouvoir après lequel elle coure avec une constance pathétique, toujours disponible même pour affronter les glaciers polaires qui depuis son bref passage fondent davantage. Elle propose à nouveau sa personne pour assumer de hautes fonctions et sauver une France qui l’attend depuis si longtemps.
Illustration : Jules Eugène Lenepveu « Jeanne d’Arc au bûcher »
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Commentaires
Pourquoi insulter la mémoire de Jeanne d'Arc en la comparant à ces deux arrivistes sans scrupules ?
Elle avait une tout autre dimension spirituelle et charismatique et un tout autre sens de la nation et du devoir voire du sacrifice.
Ceci dit hors de toute référence religieuse la concernant.
C'était une blagounette.
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Samedi 31 Août à 14:04
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Ségolène assure l'intermède comique de cette rentrée morose.
Lucie me semble aussi atteinte que Ségo. Elle n'a pas encore donné toute sa mesure. Si LFI réussit à se débarrasser de la Méluche, elle sera candidate à la prochaine présidentielle.
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Samedi 31 Août à 21:02
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4Souris doncDimanche 1er Septembre à 11:24La vraie Jeanne d'Arc a bouté l'Anglois. La flotte anglaise se trouvait à La Rochelle, et elle a dû passer entre la côte vendéenne et l'ile de Ré.
Les rhétaises ont montré leur cul à tous les passants, elles ont troussé leur chemise.
Donc le vin produit sur l'ile de Ré s'appelle fort logiquement "le trousse-chemise", un délice, surtout quand la mer est grise et qu'on l'est un peu.
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Dimanche 1er Septembre à 11:43
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Ces deux là me rappelle un certain maréchal qui avait fait don de sa personne à la France, et qui la vendue pieds et poings liés aux boches !
Il y a des dons qu'il faut refuser.