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Dernière nouvelle
Ce matin, Emmanuel Macron regarda Brigitte sous son masque rajeunissant et lui dit : « Pourquoi me suis-je foutu dans ce merdier ? ». Brigitte ne lui répondit pas pour ne pas rider son masque. Manu prit soudain conscience que sa vie était auparavant confortable alors que depuis cinq ans il allait d’un emmerdement à un autre et qu’en plus il était détesté par les deux tiers de la population jusqu’à le traiter d’assassin et vouloir le décapiter après l’avoir giflé en public. Les Français avaient d’abord enfilé les manifestations de mécontentement les unes après les autres, en étant régulièrement touchés par la fièvre du samedi où l’on vit danser ensemble des participants costumés, les uns en jaune, les autres en noir au milieu des feux de joie. Vint cette épidémie qui paralysa le pays. La guerre avait-il dit. Il y a des mots qu’il faut éviter de prononcer car la guerre vint pour de bon à l’est de l’Europe. Vous croyez que c’est drôle de parler à Poutine pendant des heures, une vraie tête de mule coincé dans le XXe siècle, un mur toujours debout malgré les bombardements. Et tous ces coups de téléphone, tous ces déplacements, toutes ces réunions. Epuisant. Mais pourquoi s’était-il foutu dans ce merdier ? Et pourquoi était-il à nouveau candidat ? « Brigitte – dit-il – je ne me représente pas ! ». Brigitte se contenta de faire une bulle.
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Commentaires
2OrageVendredi 1er Avril 2022 à 14:19Mais il a raison, le Manu, les politiques ne servent à rien et en plus ils nous coutent cher. Avec le RIC gilets jaunes pour prendre les bonnes décisions, quatre ou cinq fonctionnaires bac+2 pour la paperasse (il en faut bien un peu) et le tour est joué ! Qu'ils dégagent tous, autant qu'ils sont !
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Vendredi 1er Avril 2022 à 15:23
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Vous avez parfaitement résumé la situation, mais c'est qu'être président, même s'il y a des foutus moment comme aujourd'hui, il y a quand même l'ivresse du pouvoir ! De pouvoir par exemple "emmerder" les français, et puis aussi dépenser sans compter, ce n'est pas rien !
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Vendredi 1er Avril 2022 à 19:33
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Je ne comprendrai jamais les mobiles qui poussent à se foutre dans le merdier présidentiel.
Ce matin au marché, les portraits des candidats + leur slogan électoral étaient affichés.
L'un plus inconsistant que l'autre, sourire "accroché". Ils voudraient pousser à l'abstention, qu'ils ne s'y prendraient pas autrement.
Je crains que la politique ne finira par attirer que les médiocres. De même pour la fonction publique. Avec l'affaire des cabinets de conseil privés (actifs dans tous les pays occidentaux) dont on parle en ce moment, il semble que les cerveaux les plus brillants oeuvrent plutôt dans le privé.