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Ça va encore durer longtemps l’indépendance ?
Cette question aurait été posée par un vieil Africain à son fils. Une question iconoclaste, politiquement très incorrect, et disons-le carrément, nauséabonde. Mais quand on voit des Africains sauvés in extremis de la noyade par l’Aquarius, un bateau surchargé où se trouvent également des femmes et des enfants, entassés dans des conditions que l’on dit déplorables, il faut admettre que ces personnes sont parties de chez elles sans bien connaître les risques qu’elles prenaient pour rejoindre un supposé Eldorado ou alors que les conditions de vie dans leur pays devenaient intolérables au point de prendre des risques insensés.
Bien sûr, l’Afrique est un continent immense et les conditions de vie comme les régimes politiques varient d’un pays à l’autre, mais dans nombre d’entre eux la population est probablement plus malheureuse aujourd’hui qu’elle ne l’était sous la férule coloniale. Une colonisation que l’on ne cesse de condamner, si bien que les descendants des anciens colonisés reprochent – jusqu’à la haine - aux descendants des colonisateurs d’avoir des ancêtres ayant colonisé la plupart des pays africains en réclamant le statut de victimes éternelles bien que confortablement installés dans le pays des anciens colonisateurs.
Les empires coloniaux anglais, français ou portugais n’étaient pas comparables à l’empire de Cyrus ou même à l’empire romain où les conquis devenaient citoyens de l’empire jusqu’à devenir empereur à Rome. Dans les colonies, la relation entre les colons et les colonisés se faisait le plus souvent sur le mode de maîtres à serviteurs, en opposition aux Droits de l’homme dont les colonisateurs étaient justement les promoteurs.
Dans beaucoup de pays africains, l’indépendance fut suivie par des guerres civiles, des dictatures et des conditions économiques qui se sont détériorées, aggravées par la croissance démographique, par l’incurie et l’appétit des dirigeants profitant de la manne déversée par les sociétés étrangères exploitant les richesses du pays et appartenant souvent aux anciens colonisateurs.
Alors des populations dans la misère et/ou menacées par des guerres intestines ou religieuses ne pensent qu’à quitter leur pays indépendant pour rejoindre le pays de l’ancien colonisateur où leurs conditions de vie ne seront cependant guère brillantes pour la plupart, mais avec l’espoir de le devenir, espoir qu’elles ont perdu dans leur propre pays.
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Commentaires
2Souris doncMardi 12 Juin 2018 à 11:48L'Afrique ne gère pas l'augmentation exponentielle de sa population.
1900 : 100 millions
1950 : 275 millions
Actuellement : 1,2 milliards
Projection pour 2050 : 3 milliards.
Question de mentalité. Quand les Chinois étaient dans la misère, ils n'ont pas déferlé chez les Japonais prospères. Ils ont mis en place la politique de l'enfant unique.
Les Aquarius et autres Médecins du Monde devraient peut-être déployer leur énergie à l'éducation à la contraception plutôt que de se faire les complices des passeurs.
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Mardi 12 Juin 2018 à 12:56
Le poids des moeurs et des habitudes ancestrales. Même dans l'hypothèse d'un dirigeant africain clairvoyant, ce sont des obstacles difficiles à surmonter. Pour la limitation des naissances, l'Inde se heurte également à un problème semblable où l'obstacle est surtout religieux. L'Inde est une démocratie et la Chine une dictature. Le paradoxe dramatique est que l'Afrique regorge de richesses naturelles et ne cesse de demander assistance depuis son indépendance et ses populations pour beaucoup ne rêvent que d'exil.
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Quand on écoute les gentils partisans de l'accueil des migrants, on ne sait pas très bien à quel titre on devrait les accueillir sans aucune limite : pour certains c'est au titre du droit d'asile dû aux persécutés politiques, pour d'autres l'inéluctable migration climatique, pour d'autres encore la compassion à la misère du monde, d'autres au titre de l'innovation technologique ( les Américains issus de l’immigration récente auraient obtenus plus de Nobel que les Américains de souche... une Chance pour la France), pour d'autres encore pour rajeunir nos populations vieillissante ...
L'option consistant à les aider à rester chez eux (financièrement, technologiquement, caritativement) est totalement exclue ! La place d'un Afghan, d'un Éthiopien ou d'un Maghrébin semble être en Europe et nulle part ailleurs !
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Mardi 12 Juin 2018 à 20:56
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Mercredi 13 Juin 2018 à 08:47
Sans fin pour eux ! Mais d'autres se chargeront peut-être d'y mettre un terme ! mais à quel prix ! Les pro-migrants et les ONG scient la branche compassionnelle sur laquelle ils se croient confortablement installés. Par leur intransigeance idéologique et leur refus de comprendre l'angoisse des populations européennes, ils ouvrent un boulevard au racisme primaire, à la xénophobie et finalement favorisent la montée de l’extrême droite en Europe.
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Mercredi 13 Juin 2018 à 10:56
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Les conditions de vie doivent être meilleures en Europe que dans leurs pays d'origine. Ils semblent du moins le croire. Mais peut-être ont-ils raison. Il arrivera bien un moment où il sera matériellement impossible de leur offrir ce qu'on finit par leur offrir sauf à sacrifier pour eux le niveau de vie européen.
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Mardi 12 Juin 2018 à 22:56
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Souris doncMercredi 13 Juin 2018 à 06:18
Les chantiers et les cuisines de la région parisienne.
Dans la France périphérique, ce n'est pas le cas, même pour la voirie. L'argument des emplois dont les Français ne veulent pas n'est pas généralisable. En dépit des efforts de Raffarin qui imagine "revitaliser" les campagnes par les immigrés.
Courte vue typique : répartir le problème pour le rendre moins visible, et ainsi éviter de s'y atteler. C'était ce qu'avait réclamé Marchais après que les cocos eurent envoyé les bulldozers à Vitry démolir un foyer de Maliens. Résultat : les cocos qui "tenaient" les banlieues (dans tous les sens du terme) et faisaient 20% aux élections, n'existent plus que par des alliances de circonstance avec Mélenchon et la CGT.
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Mercredi 13 Juin 2018 à 11:07
C'est vrai que ce que j'observe dans la région parisienne n'a pas valeur statistique, mais à chaque fois que nous faisons appel à une entreprise, les ouvriers envoyés sont noirs ou maghrébins. Ce sont eux que l'ont trouve largement représentés dans le métro aux heures de pointe (aller et retour du travail). Serait-ce que la majorité des Africains travaillent en région parisienne et vivent des aides sociales ailleurs ?
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Mercredi 13 Juin 2018 à 15:15
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Mercredi 13 Juin 2018 à 17:04
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Souris doncMercredi 13 Juin 2018 à 19:39
Les postulants ont à leur disposition des applis, genre tripadvisor migradvisor. Qui leur indiquent où aller avec des tarifs imbattables ! Packages et pass personnalisés ! Ristournes, services exclusifs !
N'hésitez pas ! Offres spéciales familles !
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Mercredi 13 Juin 2018 à 19:48
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5brindamourJeudi 14 Juin 2018 à 11:35Tous seuls ils ne pourront pas s'en sortir. On est bien obligé de les accueillir.
Par contre ce doit être vexant qu'après avoir obtenu l'indépendance on fasse des pieds et des mains pour aller vivre chez l'ancien colonisateur.
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Jeudi 14 Juin 2018 à 11:48
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Jeudi 14 Juin 2018 à 13:01
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Jeudi 14 Juin 2018 à 13:45
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Ils ne sont pas tous dans la misère, ils sont envoyés pour la : COLONISATION des pays des ex colonisateurs en vue de promouvoir une religion etaussi pour coloniser les ex colonisateurs, c'est presque fait!
Vous pensez que ceux qui se noient en Méditerranée (33293 morts ou disparus d'après un journal allemand) font partie d'un vaste complot pour islamiser l'Europe ? Il y a suffisamment d'islamistes nés en Europe et notamment en France.