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Bonne route
J’ai remarqué que les personnages publics partent souvent par deux dans l’Au-delà. Un peu comme les flics lorsqu’ils font une ronde. Peut-être que la mort est dangereuse et qu’à deux le voyage est plus sûr.
Cette fois, rien n’est plus disparate que le couple qui vient de partir. L’un très « vieille France », délicat et souriant même dans ses attaques, l’autre grande gueule, grande voix, occupant l’espace dans une orgie de lumières, mais l’un et l’autre ont été aimés par tous.
Bonne route.
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Commentaires
2Souris doncJeudi 7 Décembre 2017 à 08:44Aimés par tous, et pendant 3 jours, on va être dispensés d'endoctrinement. A en juger par la liste des émissions déprogrammées donnée ce matin sur Radio Classique. Ne pas voir et entendre la médiacratie nous sommant de nous réjouir d'être entourés de noirs et d'Arabes : Rester libre.
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Jeudi 7 Décembre 2017 à 09:07
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3myriamJeudi 7 Décembre 2017 à 11:09je l'ai aimais tous les deux ! ce qui me derange c'est que l'on parle d une journée de deuil nationnal pour l un mais pas pour l'autre ???
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Jeudi 7 Décembre 2017 à 11:34
Il y a beaucoup de grands écrivains qui ont disparu sans que soit décrété un deuil national. Pour moi (mais sans doute pas pour d'autres), Jean d'Ormesson était plus un homme médiatique et une personnalité attachante qu'un grand écrivain. Je pense que la plupart des Français n'ont pas lu un seul livre de d'Ormesson alors JH a fait partie de tous les foyers et de toutes les générations.
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Je me souviens du "couple" lady Diana-mère Térésa, parti lui aussi à une journée d'écart ! J'ai entendu ce matin que Jean d'Ormesson aura droit à un hommage national, Johnny, à un hommage "populaire" sur les Champs Elysées. Il me semble que c'est bien comme ça....
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Jeudi 7 Décembre 2017 à 16:44
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étonnante loi des séries..ces deux personnalités si différentes par leurs origines et la pratique de leur art ont soulevé une vague d émotion de leurs admirateurs peut-être les mèmes ? On peut aimer a la fois le rock et la littérature
Bien sûr. Mais outre le talent avec lequel ils exerçaient leur métier, je crois que les Français aimaient leur personnalité.