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Bêtes techniciennes 3
D’après The New York Times, de plus en plus de New-Yorkais, tendance écologiste, auraient recours aux capacités des vers de terre. Le lombric est en effet capable de manger environ la moitié de son poids par jour et se régale de ce que nous n’aimons pas : les ordures ménagères, et - bête admirable - ses déjections font un excellent engrais prêt à l’emploi au bout de quatre à cinq mois, c’est le « lombricompostage ». Il faut néanmoins s’adresser à un centre de formation (Lower East Side Ecology Center) avant que vous soit confié un composteur avec son amas grouillant de bons serviteurs susceptibles de continuer leur labeur même en cas d’une absence de ses maîtres pendant trois semaines. Quelques inconvénients ont été signalés : l’odeur de moisi et la tendance des serviteurs à s’échapper de la cuisine.
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Commentaires
1Le+Huron,+Pangloss+eMardi 19 Mai 2009 à 19:30Je n'ai pas attendu le NYT! C'est simple, efficace et quand on a un jardin (ou un balcon) les avantages sont grands et les inconvénients imperceptibles.RépondreC'est bien les vers de terre mais, heu...dans le jardin, tout au fond, dans le tas de compost !et quand y aura plein de vers de terre, on cultivera des taupes pour les recycler ?
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