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Théorème n°3
LE DEGRE D’AGITATION D’UN(E) POLITICIEN(NE) EST PROPORTIONNEL A SON DEGRE D’IMPUISSANCE.
Sarkozy est pris d’une frénésie de « réformes » soit inefficaces, soit impossibles, pour donner l’illusion de diriger quelque chose. Hollande bouge sans cesse pour donner l’illusion qu’il pourrait être efficace. La forme féminine de Le Pen, dans son rôle de composition, agite des peurs. Mélenchon agite des anathèmes. Joly est naturellement agitée. Et Bayrou : il saute sur place, n’est-il pas le centre ?
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Commentaires
1SoulikoLundi 9 Janvier 2012 à 19:31Je reviens pour constater que vous êtes en grande forme ! Tout ce petit monde me fait penser à la frénésie hystérique d'un premier jour de soldes : ils veulent tous le même t-shirt !RépondrePourquoi ne pas en faire une troupe de saltimbanques ? Au moins ils feraient les clowns tous en même temps !
NettoueTout cela est fort déprimant... je piaffe d'énervement ce qui pourrait apparaître contradictoire avec ma déprime... rireMais ils le font tous en même temps. Cette agitation provoquée par la campagne présidentielle s'apparente à un mouvement brownien.
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