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Spleen
Edvard Munch : "Mélancolie"
QU'Y A-T-IL DE PLUS DEPRIMANT ? LE CANARD ENCHAÎNE.
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Commentaires
Je suis un fervent lecteur du Canard, mais le nombre d'injustices et de scandales révélés (toujours les mêmes) finit par me déprimer.
Dr WOAh ! D'accord, mais si on se trouve des cernes et le cheveu rare, faut pas incriminer le miroir...
Je lit le Canard et Marianne, mais mon coeur penche nettement vers le Canard.Loin de moi d'incriminer le Canard qui donne une vision sans hypocrisie et nécessaire des choses mais qui révèle aussi notre impuissance à les modifier même si elles sont révélées.
Dr WOJ'ai arrêté de lire le Canard par lassitude: rares sont ses dénonciations qui ont été suivies d'effet.
Le tableau me paraît moins "mélancolique" que mon article d'aujourd'hui: on n'y voit pas d'algues vertes.Là encore le scandale est visible, étalé au grand jour, mais persiste malgré les protestations. Il n'est pas question de s'attaquer aux cochons responsables.
Dr WOIl reste "l'Album de la Comtesse" pour se consoler...momentanément !J'aime lire le Canard. Bien sûr, avec bcp de recul car nous savons tous d'où viennent ces "fuites" si opportunes.Mais il y a des fuites qui font mal et je ne pense pas qu'elles soient opportunes pour le pouvoir.
Dr WOMoi aussi, j'aime bien le Canard et l'album de la Comtesse. Grace à lui, nous sommes au courant des...
mouvements des Fonds et de Caisse des politiques.On ricane de toutes ces magouilles et incompétences, mais nous en sommes les victimes et ça finit par lasser.
Dr WOPeut être l'important est de dire la vérité et peut importe qui l"entend ?Zut alors, dans le canard enchaîné on se marre... Et j'adore l'album de la comtesse...!!!!
Bonne journée Doc,
Bizzzzzzzzzzz
ZAZA18leonieLundi 7 Janvier 2013 à 16:24On a beau se dire que moins on en sait, mieux on se porte, n'empêche que la curiosité reste quand même la plus forte.
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C'est pour moi, l'écharde pétillante planté dans le pied de la statue immuable du capitalisme, la limace goguenarde dans la salade de la politique, la colombe qui chie de manière irrévérencieuse (mais précise) sur la casquette du général.