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Sadomasochisme
A l’occasion du retour prévu en France de femmes (et d’enfants) ayant rejoint volontairement l’Etat islamique et qui devront être jugées pour leurs actes plus ou moins sanglants commis au nom de leur Dieu miséricordieux, la télévision a montré des images de leurs silhouettes noires déambulant comme des corbeaux sans ailes dans les camps du Moyen-Orient où elles sont détenues sous la garde des Kurdes. Il est difficile de comprendre comment le fanatisme peut conduire à s’annihiler soi-même, à devenir l’ombre d’un être humain, dans une noirceur confinant à l’invisibilité, il y a là un masochisme à ciel ouvert. Quant aux Occidentaux, ils font preuve d’une indifférence sadique à l’égard des Kurdes devenus gardiens de prison pour nous, après avoir combattu et vaincu les islamistes en notre nom, et que l’on laisse à découvert à la suite d'un marchandage pour que le Turc les extermine à sa guise. Honte.
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Commentaires
Elles seront libérées d'autant plus vite que, les crimes éventuels étant impossibles à prouver, elles ne pourront être poursuivies que pour "appartenance à..." et de "apologie de"..."
Mais bon, pour les enfants...
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Jeudi 7 Juillet 2022 à 14:05
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la propagande...
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Jeudi 7 Juillet 2022 à 17:05
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4Souris doncVendredi 8 Juillet 2022 à 07:57Tout ce qui vient chez nous sans être invité, nous provoquant en tenue militante, burqa, burkiniquetamère, qui s'enrôle dans les djihad, se fout pas mal de l'Etat de droit, mais revient pleurnicher et profiter de ses avantages quand ça tourne mal, ne mérite aucune considération.
Les femmes kurdes qui ont combattu Daech sont autrement admirables. Un article long, inutile de le lire, mais les photos sont parlantes.
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Vendredi 8 Juillet 2022 à 11:14
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Complaisance coupable envers la Turquie pour faire plaisir à l'Otan.
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Vendredi 8 Juillet 2022 à 12:39
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Ne les plaignez pas elles sont ravies de mourir pour le dieu !
Mais il faut qu'elles restent dans leur prison loin de chez nous, nous en avons déjà assez sur notre sol !
Loin de moi l'idée de les plaindre. Reste le problème des enfants, et si les femmes sont jugées en France, elles seront amenées à être libérées un jour ou l'autre.
En revenant en France elles ne craindront plus rien, mais par contre nous nous aurons encore des tueuses sur le dos !
Là est la question.