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Kitsch
On ignore si l'architecte, en pleine liberté créatrice, avait pris quelque chose avant son étonnante création (Rue d'Abbeville)
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Commentaires
1soulikoMardi 20 Janvier 2009 à 18:05On fumait déjà la moquette à cette époque ? Les rideaux que l'on aperçoit derrière la fenêtre paraissent pas mal dans le genre, eux aussi !RépondreJ'aime aussi, justement parce que c'est délirant, sans frein dans l'imaginaire et tellement différent des platitudes modernes (à quelques exceptions près comme le musée de Bilbao ou le parc Güell à Barcelone)
Dr WOJe n'ai pas dit que je n'aimais pas ! Un petit besoin de plaisanter...je ne le referai plus, promis !C'est sûr que l'architecte s'est libéré, mais là vous vous livrez peut-être à une psychannalyse osée, Il faut aussi tenir compte de la mode architecturale de l'époque ("art nouveau").
Dr WOPeut-être le riche propriétaire avait-il passé commande d'une demeure ostentatoire ? Et il aurait eu raison car ce travail tant d'architecture que de réalisation est tout simplement superbe.C'est très possible. Je vais tenté de me renseigner. C'est en effet une réalisation qui sort de l'ordinaire.
Dr WOIl est possible que l'hypothèse de Pascale soit la bonne : cette façade étonnante a peut-être été une commande du propriétaire de l'immeuble plutôt que le désir de l'architecte.
Dr WOMais même à l'époque de telles réalisations ont été rares, avec une telle liberté et une telle exubérance.
Dr WOOu le contraire. Peut-être n'y a-t-il pas beaucoup d'immeubles de ce genre parce que le propriétaire disait "Trop cher!". Autre bel exemple d'exubérance architecturale: l'immeuble Guimard dans le XVIème.Sur internet on peut avoir quelques renseignements sur cet immeuble du 14 de la rue d'Abbeville (Paris X) et quelques photos plus détaillées. Il a été construit en 1900 pour une certaine Mme Balli, les architectes étaient Alexandre et Edouard Autant, mais on doit cette décoration extraordinaire au céramiste Alexandre Bigot.
Dr WO16JeffanneLundi 7 Janvier 2013 à 16:33La moquette .... à fleurs ou sans fleurs, je ne sais... mais on dirait que l'architecte veut faire éclater quelque chose qu'il ressent et qu'il ne sait décrire avec des mots...cela peut être plein de sentiments confus et divers : de l'amour pur à l'amour fou, voire pervers... d'une joie extrême à une tristesse sans nom, voire sans fin... On dirait (excusez-moi pour ces mots et ce que je ressens) quelqu'un que l'on a brimé, réduit au silence et qui emmuré dans ses pensées... veut sortir de son carcan... de sa prison qu'elle soit physique ou psychique...17JeffanneLundi 7 Janvier 2013 à 16:33Possible, je n'ai pas vu les choses sous cet angle là juste sous une forme de "libération de l'esprit"...18JeffanneLundi 7 Janvier 2013 à 16:33et, avouons-le, je n'ai guère pris en compte la mode architecturale de l'époque... disons que cette mini-analyse ne peut-être que générale et ne s'applique pas à une personne en particulier... bon excusez.
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