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Postérité insoumise
Quel que soit l’avenir politique de Jean-Luc Mélenchon, il a sa place dans la postérité. Non pas en tant qu’homme politique laissant derrière lui des réformes capitales ayant changé dans le bon sens le destin de la nation car jusqu’à présent son oeuvre est plutôt négative que nulle. Non, il passera à la postérité dans le folklore français en remplaçant avantageusement auprès des enfants le rôle qu’avait jusqu’à présent le loup ou l’ogre. « Si tu n’es pas sage » diront les parents « j’appelle Mélenchon ».
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Commentaires
Au moins, Mélenchon ne cache pas son jeu! Contrairement à ces modérés extrémistes qui se répandent sur les médias et sur le net.
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Vendredi 12 Juillet à 10:10
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Je pense à ceux qui, au nom de leur modération, sont prompts à traiter leurs contradicteurs de fascistes sournois, de crypto-nazis, de pétainistes revanchards, d'islamo-gauchistes clandestins et de complotistes illuminés. Et qui, pour leur bien assurément, ne protesteraient pas trop si pour pouvoir réduire leurs opposants au silence (leur formule favorite: "je ne peux pas vous laisser dire ça") on le rééduquaient un tantinet.
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Vendredi 12 Juillet à 11:24
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Avant lui, il y avait Jean-Marie qui jouait ce rôle avec un certain talent.
Mis à la retraite et bâillonné par sa fille, il a passé le flambeau à Jean-Luc.
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Vendredi 12 Juillet à 12:16
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6Souris doncSamedi 13 Juillet à 10:23
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On peut donc sourire avec ce père fouettard !
Il vaut mieux en sourire.