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Nous connaissons à présent la composition de la charrette de ceux qui vont tendre le cou au couperet de la censure. Pendant ce temps, Emmanuel Macron, toujours Président de la République française pérorait, je ne sais où, devant une escadrille de journalistes en déversant une diarrhée verbale sur les évènements du Moyen Orient. Chaque question déclenchant un exposé où apparaissait qu'il avait été, lui, le maître d'oeuvre principal de la libération prévue des otages israéliens et du cessez-le-feu à venir, voire de la paix dans cette région du monde. Il avait néanmoins la pudeur de citer rapidement les autres protagonistes et d'utiliser le "nous" et pas le "je". Il s'écoutait parler avec un plaisir évident au lieu de répondre brièvement aux questions posées. Une volonté d'exister qui frisait le ridicule.