17 Octobre 2020
Le chirurgien François-Xavier Bichat, qui créa la méthode anatomo-clinique en découpant des cadavres fournis par la guillotine de la Révolution Française, déclara que « La vie est la somme totale des fonctions qui résistent à la mort ». Déclaration qui, sur le plan médical, est tout à fait sensée mais décalée si on la transpose sur le plan social de l’époque où aucune fonction ne pouvait résister au fanatisme révolutionnaire qui avait conduit à couper la tête des meilleurs. Le corps social souffre de nombreuses maladies aigues ou chroniques mais celle qui le menace le plus est le fanatisme, et le pire des fanatismes est le fanatisme religieux totalement insensible à la raison et sûr de sa vérité car invérifiable. C’est un cancer. Et aujourd’hui les corps sociaux de l’Occident sont frappés par un cancer issu de l’islam. Ses cellules déréglées, envahissantes et destructrices, se développent dans un tissu social mou, incapable d’utiliser ses moyens de défense, craignant de détruire les cellules encore saines qui les entourent. La chirurgie est délicate, la tumeur est grosse et expansive par des apports extérieurs. Peut-être que des anticorps bien ciblés seraient efficaces, mais le corps social occidental est-il encore capable de les produire quand des cellules qui paraissent encore saines s’opposent à leur production, ce qui permet aux métastases de proliférer au nom de la liberté, en même temps que les cellules psychologiques.