• Sans Issue

    Cette photo a été prise aujourd'hui à 12h par Fanny Arlandis. Elle est parue dans Slate. Ce sont des migrants bloqués à la frontière grecque. Ils avaient été encouragés par Erdogan à se rendre en Grèce, porte d'entrée de l'Europe.

    La question que l'on peut se poser : où sont les femmes ? Peut-être que quelques-unes sont perdues dans la foule, mais très peu. Les hommes partent en laissant femmes et enfants sous les bombes ? A moins qu'il ne s'agisse que de célibataires ou qu'ils ne fuient pas une guerre.

    Il n'y a pas de place en Arabie Saoudite ? Ou dans un autre pays de la fameuse "communauté des croyants" ? Mais les pays des mécréants sont bien plus séduisants.

    Sans Issue

    « Aux armes, citoyennes !La journée de la femme, un demi-siècle en arrière »

  • Commentaires

    1
    Orage
    Samedi 7 Mars 2020 à 18:17

    Et voilà! Depuis des années on nous bourre le mou: on nous dit qu'ils fuient la guerre. Mais il n'y a pas la guerre dans tous les pays dont sont originaires ces envahisseurs.

    Et puis où sont femmes et enfants car qui laisserait sa famille en plein danger pour se tirer tout seul? En plus, à leur âge ils sont déjà probablement tous mariés. Non, c'est une invasion pour motif économique et rien d'autre.

      • Samedi 7 Mars 2020 à 18:29

        On ne peut pas dire que la guerre n'existe pas dans le nord de la Syrie. Je crois qu'il y a 3 à 4 millions de réfugiés en Turquie. Mais il est certain que dans le lot il doit y avoir des immigrés venant d'autres pays (Afghanistan ou Pakistan). Les migrants économiques africains passent plutôt par la Libye.

    2
    Samedi 7 Mars 2020 à 19:47

    Bon... ben... D'accord, certains fuient effectivement la guerre... OK...

    Et bientôt, c'est nous qui devront fuir la guerre (guerre civile ou guerre de religion) sur le sol national.

    Car cette "invasion" n'est pas que "économique" mais aussi civilisationnelle, culturelle et cultuelle. 

    La question est de savoir où nous pourrons fuir.

     

    (C'était ma minute zemmourienne)

     

      • Samedi 7 Mars 2020 à 21:36

        En effet, le problème est là : l'invasion culturelle, non pas l'adjonction d'une culture différente à la culture propre au pays, ce qui a toujours été le cas pour les immigrations précédentes  mais le remplacement de la culture du pays par la culture importée.

    3
    Samedi 7 Mars 2020 à 19:52

    BFM confirme ce que d'autres journalistes ont déjà observé  : les foules massées aux frontières de l'Europe sont composées d'afghans, d'iraniens, d'irakiens, de maghrébins et de très peu de syriens. Certains (des marocains dans l'article de BFM) ont pris l'avion pour se rendre en Turquie APRES la menace de Erdogan d'ouvrir ses frontières. 

    Vous avez raison de souligner qu'il n'y a que des hommes jeunes. Ils ne fuient pas des pays en guerre. Ils ne fuient pas le totalitarisme religieux. ils ne fuient même pas la misère à proprement parler.  Ils sont à la recherche d'une vie meilleure. Meilleure uniquement sur le plan matériel  car ils veulent tous garder leur bagage culturel et religieux intacts. 

    La décision d'Erdogan de les utiliser comme une arme contre nous n'est pas un chantage mais une véritable déclaration de guerre à l'Europe. Et je suis est vraiment indigné du peu de réactions  des dirigeants européens.

      • Samedi 7 Mars 2020 à 21:45

        Mais nous aurons nos pleureuses.

    4
    Samedi 7 Mars 2020 à 20:52
    Pangloss

    Les dirigeants européens? Que dirigent-ils exactement?

      • Samedi 7 Mars 2020 à 21:43

        Comment faire avancer un colosse mou à 27 têtes ?

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :