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On rase bien les églises
Pendant que l’on attaque des églises un peu partout dans le monde, que des musulmans massacrent des chrétiens et les chassent de pays où ils vivaient depuis des siècles et bien avant que naisse l’islam, le pape a fortement réagi en conseillant aux coiffeurs (qu’il recevait) de ne pas colporter des potins lorsqu’ils font la conversation à leurs clients et d’exercer leur profession dans un style chrétien. Une tentation dont on ne peut contester la gravité. On se pose évidemment la question du style chrétien, mais que l’on se rassure, il ne s’agit pas de tonsure. Lorsqu’une joue est rasée, il faut tendre l’autre.
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Commentaires
2OrageMardi 30 Avril 2019 à 19:26Il suffirait qu'il soit chrétien et affirme (c'est ce qu'il est censé croire) que lui seul détient la vérité et que donc l'Islam est une religion ennemie.
Qu'il laisse les compromis aux politiques.
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Mardi 30 Avril 2019 à 20:44
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5Souris doncMercredi 1er Mai 2019 à 10:39Sa Sainteté Gaucho de la Pampa (TM Nouratin) ne sait pas quoi faire pour raser vider les églises. Premier geste du pontificat : se précipiter à Lampedusa (Chers immigrés musulmans, l'Eglise est à vos côtés dans la recherche d'une vie plus digne pour vous et vos familles), puis ramener de Lesbos 3 familles musulmanes, alors que les Chrétiens d'Orient sont persécutés.
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Mercredi 1er Mai 2019 à 11:48
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Mercredi 1er Mai 2019 à 14:44
Un certain nombre de chrétiens, de plus en plus nombreux, ne reconnaissent pas "les enseignements du Christ" dans cet amour désordonné de l'autre, voire de "l'ennemi", qui s'exerce selon eux au détriment de la Foi et de l'Amour de Dieu.
La proximité, allant parfois jusqu'à la complicité avec l'islam anti catholique et ennemi juré des adeptes d'un Dieu "trinitaire", contraire aux paroles du "prophète" frôle la trahison.
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Mercredi 1er Mai 2019 à 15:35
La vision christique était universaliste et elle pouvait s'appliquer au monde romain en tant que seul monothéisme. Mais à côté du judaïsme dont est issu le Christ d'autres vérités sont apparues : le christianisme, se séparant du judaïsme avec Paul de Tarse, et l'islam forcément concurrentes. Les chrétiens se sont ainsi éloignés depuis longtemps des enseignements universalistes de Jésus de Nazareth et reprochent à ce pape de s'y référer sur un mode qu'ils estiment suicidaire. Mais pour survivre il faut parfois perdre son âme.
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1) Peu après l'incendie de Notre-Dame de Paris, le "pape" (!) a fait savoir qu'il était prêt à aider "symboliquement" et techniquement (avec l'aide de la vierge Marie) à sa restauration, mais que le maigre budget du Vatican ne lui permettait pas d'apporter une aide financière.
2 ) Condamnant la fermeture des frontières, décidée par le président Trump, entre les Etats-Unis et l'Amérique centrale, le Vatican a débloqué 500 000 $ pour venir en aide aux dizaines de milliers de aux migrants latino-américains qui veulent entrer clandestinement aux USA.
(rien d'autre à signaler, pour l'instant)
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Mercredi 1er Mai 2019 à 15:34
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Mercredi 1er Mai 2019 à 19:00
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Mercredi 1er Mai 2019 à 19:21
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Mercredi 1er Mai 2019 à 19:54
... des catholiques inspirés par un "pape [qui] a fortement réagi en conseillant aux coiffeurs (qu’il recevait) de ne pas colporter des potins lorsqu’ils font la conversation à leurs clients et d’exercer leur profession dans un style chrétien [...] pendant que l’on attaque des églises un peu partout dans le monde, que des musulmans massacrent des chrétiens et les chassent de pays où ils vivaient depuis des siècles et bien avant que naisse l’islam"
Pourquoi pas ?
et, "Ce n'est pas si mal joué....", comme dirait un de ses bons copains...
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Mercredi 1er Mai 2019 à 23:05
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IL y a bien longtemps que je ne tends plus l'autre et que je rends coup pour coup...
On se demande bien à quoi sert ce pape, si ce n'est de tracer la route de l'islam!
Comme je suis charitable, je dirais que sa position est difficile. Il n'a ni la volonté ni le pouvoir (heureusement) de déclencher une guerre de religion (bien qu'elle existe déjà pour une fraction des musulmans) et l'islam n'a pas de chef spirituel qui pourrait être écouté par l'ensemble de l'islam, lui-même étant, de plus, divisé en deux fractions ennemies. Ce n'est plus un problème religieux mais un problème étatique.