• HalloweenLes cadres du parti FLN vont demander au président algérien Abdelaziz Bouteflika de se présenter aux élections présidentielles d'avril 2019 pour un cinquième mandat.


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  • Dans l’article précédent je donnais quelques exemples où la mode semblait pousser les gens à porter leur QI, taille basse, soit parce qu’il avait spontanément glissé à un bas niveau et qu’il leur était impossible de le remonter, soit parce qu’ils l’abaissaient volontairement pour suivre la mode.

    Ce qui conduit logiquement à intégrer complètement dans la société et la citoyenneté les personnes qui ont congénitalement les QI les plus bas et qui ont donc anticipé la mode dès leur naissance.

    « En France, 365 000 personnes majeures sont placées sous tutelle. Un régime juridique généralement justifié par un handicap mental important et qui prive la personne protégée de nombreux droits civils, politiques et patrimoniaux. Parmi ces droits limités, on trouve des droits fondamentaux comme le droit de voter et le droit de se marier. »

    Le secrétaire d’Etat en charge des personnes handicapées, Sophie Cluzel, a annoncé le 25 octobre dernier que la législation permettant au juge de limiter le droit de voter et de se marier des personnes sous tutelle sera modifiée et qu’à l’avenir les personnes qui ont un handicap mental ayant nécessité la mise sous tutelle auront un droit inconditionnel de voter, de se marier et de divorcer. Une promesse qui figurerait dans le discours de Macron devant le Congrès le 9 Juillet dernier.

    Je n’ai rien contre, mais on peut en conclure qu’il n’est pas nécessaire pour voter d’avoir l’intégralité de ses facultés mentales, ce dont on pouvait parfois se douter (remarque qui fera sans doute plaisir à mon ami virtuel Pangloss) et que la personne en charge de l’handicapé mental disposera ainsi de deux voix aux élections, ce qui serait une juste compensation pour la lourde tâche de s’en occuper.

    Je ne vois aucun inconvénient à ce que les handicapés mentaux puissent se marier, ce qui implique cependant que les couples (s’ils sont hétérosexuels) pourront avoir des enfants. Espérons qu’ils seront normaux si les deux parents sont déficients mentaux, et que Mme Sophie Clusel, la secrétaire d’Etat, qui trouve que le contrôle du juge est « une réalité inacceptable », se chargera de les élever.


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  • Le QI se porte bas

    Comme la mode est aux jeans déchirés que les jeunes, et surtout les femmes, se sentent obligés de porter pour exhiber leurs genoux afin d’imiter les clochards totalement dépourvus de moyens, la mode est également de porter son QI, taille basse.

    L’apprenant (sic) qui a braqué l’appreneuse avec une arme factice et dont l’exploit stupide fut largement diffusé sur les réseaux socialement débiles, doit porter son QI sous les fesses, celles-ci méritant d’être largement bottées.

    Mais, après tout, cette graine de voyou est dépassée par les Saoudiens qui ont récemment montré à quel point ils peuvent abaisser leur QI en assassinant leur compatriote Jamel Khashoggi dans leur propre consulat d’Istanbul, sa fiancée l’attendant dehors, et en faisant appel depuis l’Arabie saoudite, aux yeux de tous, à une équipe spécialisée de scieurs de fond afin de ne pas maculer les coûteux tapis d’Orient par les projections de sang provoquées par l’élimination de leur frère musulman. Quant à la déclaration du prince héritier saoudien, instigateur présumé de la funèbre mascarade, elle vaut son pesant de cacahuètes : « L’incident est très douloureux pour tous les Saoudiens. C’est un incident hideux et totalement injustifiable. Les criminels devront être déférés à la justice…et à la fin la justice prévaudra. ». A mourir de rire, d’autant plus que les exécutants sur ordre seront probablement eux-mêmes exécutés pour sauver la face royale. A noter qu’un meurtre en Arabie saoudite n’est qu’un simple incident.  Eliminer un opposant sans s’impliquer est tout de même à la portée d’un stagiaire des services secrets. Doit-on penser que quand on a trop de pétrole, on n’a plus d’idées ? Ne serait-ce pas plutôt qu’il n’est plus nécessaire d’en avoir, les contrats remplaçant toute réflexion ?

    Même notre jeune président dont on vante la hauteur du QI a réussi à l’abaisser pour suivre la mode en enlaçant de jeunes voyous à moitié à poil qui se foutaient ouvertement de lui. Affirmant doctement par ailleurs qu'il n'y a aucun rapport entre le meurtre du journaliste saoudien et les ventes d'armes à l'Arabie saoudite, ce qui est vrai, car ce meurtre et le découpage de la victime furent réalisés avec des instruments fabriqués par les Saoudiens eux-mêmes. Un QI volontairement abaissé pour ne pas répondre à la véritable question posée.

    Le samedi matin, rue Lepic, un petit orchestre de jazz joue fort bien dans le style Nouvelle-Orléans. Cette musique égaye tout le quartier. Et bien ce matin, une voiture de police s'est arrêtée pour demander des justificatifs aux musiciens. Des passants leur ont fait remarqué qu'ils seraient peut-être plus utiles ailleurs. La question que l'on peut se poser s'agissant du zèle de ces policiers :  est-ce leur QI ou leur trouillomètre qui est à zéro ?

    Le concours reste ouvert et les candidats se bousculent.

    Illustration de Jérôme Bosch : « L’extraction de la pierre de folie »


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  • Aujourd'hui, ce tableau va être mis en vente aux enchères chez Christie's à New-York. La toile intitulée Edmond de Bellamy, from La Famille de Bellamy est signée, mais par une fonction mathématique car elle a été réalisée par une "intelligence artificielle". The New-York Times précise :  “Il n’a fallu ni peinture ni pinceaux, juste un algorithme qui apprend à imiter les lots d’images que lui servent des humains – dans ce cas précis, des milliers de portraits réalisés entre le XIVe et le XXe siècle.”

    Cette œuvre est le fruit d'un trio français appelé Obvious et son prix estimé est compris entre 7 000 et 10 000 dollars !*** A ce prix cette croûte devient de l'art. Après tout, peut-être que l'avenir nous apportera ces images "post-humaines" à foison et peut-être seront-elles plus expressives que beaucoup d'oeuvres contemporaines comme le tableau de Robert Ryman, "Le monochrome" exposé au centre Pompidou :

    Cette toile exprime-t-elle quelque chose ? Ressentez-vous une émotion en la regardant ?

    Il faut avouer que le Centre Pompidou a le sens de la dérision car j'ai eu l'occasion d'y photographier cette affiche :

    L'art doit exprimer. Une expression qui a parfois suffisamment de force pour nous obliger à la ressentir comme pour ce tableau de Goya : "Deux vieillards mangeant de la soupe" qui donne une vision terrible de la vieillesse et nous la subissons.

    Les dents de l’Amer

    Ou dans des oeuvres qui traduisent une émotion que le talent du peintre nous fait partager comme pour le tableau "Perles" de Nussbaum :

    Nussbaum-les-perles.jpg

    Ou celui de Picasso : "Femme qui pleure" montrant le visage décomposé de Dora Maar après le décès de son père :

    Femme qui pleure

    Mais un tableau exprime parfois que de la beauté et l'émotion vient de sa contemplation, comme pour les oeuvres de Chu Teh Chun :

    Ou par le mystère qui s'en dégage et la toile devient alors un support de rêve comme pour ce tableau de Richter : "Image abstraite, lac", sur lequel je me suis permis d'écrire un texte :

    Richter-Gerhard.jpg

    LAC

     

    Le regard

    Glacé par les reflets de lumière

    Froide

    Sombre dans la profondeur du vert

    Emeraude

    Et les écailles d’eau jettent des poussières

    D’étoiles

    Dans la nuit aquatique où règne le mystère

     

     

    Paul Obraska

     


    *** "L’œuvre a été adjugée en moins de sept minutes. L’acheteur final s’est imposé face à un enchérisseur qui participait à la vente par Internet depuis la France, deux autres qui participaient par téléphone, et une personne présente dans la salle. Quand le marteau est tombé, les enchères avaient atteint 350 000 dollars [307 746 euros], le montant final hors frais.” (432500 dollars frais inclus)


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  • Coups d'oeil du regretté Pétillon

    Coups d'oeil du regretté Pétillon

    Coups d'oeil du regretté Pétillon


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  • Sexisme onusien« Un groupe d'experts de l'ONU / qui dépend du Haut-Commissariat pour les droits de l'homme de l'ONU / a "condamné" mardi la France pour avoir verbalisé deux femmes qui portaient le voile islamique intégral / seuls les yeux étant visibles /, demandant à Paris de "compenser" les plaignantes et de réviser sa loi /de 2010/ » (Courrier international).

    Le comité s’est mis à 18 pour intervenir de façon péremptoire dans la laïcité imposée par la Constitution de la République française, en jugeant que "l'interdiction du niqab viole la liberté de religion (et) les droits humains" de ces deux musulmanes ».

    Mais « le président du Comité, l'Israélien Yuval Shany, a souligné qu'il considérait personnellement, comme "nombre" des 17 autres experts, que le niqab était "une forme d'oppression contre les femmes".

    On peut donc en conclure que le Haut-commissariat pour les droits de l’homme de l’ONU ne concerne pas les droits de la femme et que toute façon la liberté d’exercer sa religion, aussi tordue soit-elle, passe avant celle de la femme, l’ONU étant là pour s'assurer que la religion puisse opprimer la femme, la rendre invisible comme un objet honteux ou faire en sorte qu’elle y consente.


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  • 279. La primauté de la loi sur la science

    Dans les années 80 du siècle dernier, il était imposé aux médecins de ne rechercher l’infection par le virus du Sida chez un patient qu’avec son autorisation afin de ne pas stigmatiser les homosexuels, alors que la maladie était à l’époque toujours mortelle. Le ministère de la Santé s’était passé de l’avis des médecins qui le plus souvent passaient outre ce principe politique et antiscientifique afin de protéger le personnel de santé d’une éventuelle contamination par le sang.

    Récemment, c’est aux députés de l’Assemblée nationale que fut demandé de décider si les homosexuels masculins, population la plus menacée et la plus atteinte par le VIH, pouvaient donner ou non leur sang sans restriction. Leur décision fut prudente bien que prise par des personnes qui – a priori – ne connaissaient rien à la question. On ne voit vraiment pas pourquoi cette décision devait être débattue à l’Assemblée nationale alors qu’il s’agit d’un problème purement médical dont la solution est du domaine, non des politiques, mais des responsables des banques de sang, des infectiologues ou de l’Académie nationale de médecine et sans nécessité d'une loi mais d'un simple règlement de  fonctionnement des banques de sang.

    A trois reprises les juges ont admis que les vaccins pouvaient entraîner l’apparition de maladies alors qu’aucune étude sérieuse n’a permis jusqu’à présent d’établir une relation de cause à effet entre une vaccination et l’apparition ultérieure d’une maladie.

    Ce fut le cas en décembre 2017 où la cour administrative d’appel de Nantes a condamné l’Etat à verser une indemnité de plus de 190000 € à une secrétaire médicale qui, obligée de se vacciner contre l’hépatite B, avait développé par la suite une atteinte musculaire (myofasciite à macrophages).

    En janvier 2018, à Bordeaux ce fut le tour du laboratoire Sanofi d’être tenu pour responsable de l’apparition d’une sclérose en plaques d’un homme vacciné contre l’hépatite B en 1996.

    La cour d’appel de Montpellier, en mars 2018, a condamné l’armée française à verser une pension à un ancien militaire atteint d’une sclérose en plaques 16 mois après une vaccination, en 2005, contre la fièvre jaune.

    On se demande évidemment sur quoi s’appuient les juges pour établir des liens de causalité entre deux évènements alors que les scientifiques ont été jusqu’à présent incapables de les établir. Ce qui ne veut pas dire que l’on peut affirmer avec certitude qu’ils n’existent pas, mais la preuve n’en a pas été apportée jusqu’à présent. Les juges sont en avance, ils écartent toute possibilité de coïncidence, il suffit que deux événements de nature semblable (médicale en l’occurrence) se succèdent pour établir une relation de cause à effet entre le premier et le second.

    La causalité juridique n’a donc rien à voir avec la causalité scientifique mais s’avère avoir la priorité dans les faits. De tels jugements ne sont évidemment pas sans conséquence sur l’adhésion de la population à la vaccination. Remarquons qu’il est étonnant qu’il n’y ait pas plus de procédures judiciaires étant donné le nombre de vaccinés et la probabilité de survenue chez certains d'entre eux d’une maladie quelconque dans la période post-vaccinale.

    Illustration : Gaston Mélingue « Le Dr Edward Jenner réalisant la première vaccination » (le 14 mai 1796)


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  • Le monde en phobiesDepuis sa prestation colérique, agressive et mégalomaniaque lors des perquisitions dont il fut, ainsi que son parti, l’objet et dont il s’est empressé, bêtement, de diffuser les images commentées sur les réseaux sociaux, on sait à présent à quoi Mélenchon est insoumis : aux lois de la République qu’il prétend représenter à lui seul.

    Le plus drôle est tout de même que Mélenchon, député élu par les Marseillais, se soit moqué d’une journaliste dont il ne comprenait pas (ou ne voulait pas comprendre) les questions en raison de son accent du sud, en l’accusant avec une finesse dont il a le secret de ne pas parler le français.

    Cette sortie idiote et méprisante a été suivie par un autre gag* : la proposition de loi d’une députée LREM d’origine africaine Laetitia Avia : « "Parle-t-on moins français avec un accent ? Doit-on subir des humiliations si on a pas (sic) d'intonations standardisées ? Parce que nos accents sont notre identité, je dépose, avec des députés de La République En Marche, une proposition de loi pour reconnaître la glottophobie comme source de discrimination »

    D’abord, je remercie Mme Avia de m’avoir appris le mot « glottophobie » que je ne connaissais pas. On a eu la « grossophobie », voilà une phobie supplémentaire. La phobie devient la névrose la plus répandue et elle va contribuer à faire exploser le nombre de minorités dont les particularités devront être respectées et même passées sous silence sous peine de se retrouver devant les tribunaux. Les humoristes ont de plus en plus de soucis à se faire. Ils devront éviter d’utiliser l’accent belge et pas qu’une fois, les films de Pagnol devront être à nouveau sonorisés mais en perdant beaucoup de leur saveur, quant aux accents africain et arabe, ils étaient déjà très mal vus mais n’étaient pas encore punis par la loi lorsqu’on en souriait, même sans la moindre méchanceté.

    On nous prépare un monde aseptisé et ennuyeux au langage châtré, un monde composé d’individus susceptibles et fragiles ne supportant aucune ironie. On attend une loi pour interdire « l’imbécilophobie ». Il est vrai que là nous ne serions plus en face d’une minorité discriminée mais d’une majorité.

    * Par la suite, Mme Avia a affirmé que cette proposition de loi était en effet un gag, une plaisanterie. Personnellement, je ne le pense pas, je pense plus à un rétropédalage. Toutefois s'il s'agissait effectivement d'une plaisanterie, il n'est pas étonnant que d'autres lois votées se soient révélées des plaisanteries lorsque l'on a tenté de les appliquer.


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  • 278. On n’a pas de moyens, mais on a des idéesLe nombre de passages aux urgences hospitalières est passé de 7 millions en 1990 à 23 millions aujourd’hui. Inutile de dire qu’elles sont surchargées et que l’attente est longue. Les causes de cette surcharge sont multiples : fermeture des petits services d’urgence, car moins équipées, mais qui avaient l’intérêt de faire un premier tri, fermeture de lits en aval, et médecins généralistes eux-mêmes moins disponibles. Parmi ces millions de patients se présentant aux urgences, beaucoup ne nécessitent pas une intervention médicale rapide et si certains trouvent plus commode d’aller à l’hôpital pour leur bobo, d’autres ne peuvent pas faire autrement pour être soignés.

    Devant cette inflation de pseudo urgences qui encombrent les couloirs et les salles, le député LREM Olivier Véran et néanmoins médecin, considère qu’un quart des patients dans les services d’urgence relèvent en réalité de la médecine de proximité, d’où son idée lumineuse (qui semble intéresser la ministre de la Santé Agnès Buzyn) : pour désengorger les urgences, il suffit de renvoyer les patients, et récompenser par des primes les services qui le feraient. Se faire payer pour ne pas soigner, travailler moins pour gagner plus (pour l’hôpital).

    Des patients pourraient ainsi se trouver entre l’hôpital dont ils ont été renvoyés (même à juste titre) et une médecine de proximité pas toujours accessible (surtout dans les « déserts médicaux »).

    Mais la question n’est pas là : qui va décider qu’un patient ne nécessite pas de soins rapides et comment va-t-on pouvoir l’affirmer ? En dehors de quelques cas évidents comme une dermatose, un diagnostic de non gravité impose au moins un interrogatoire, souvent un examen physique et parfois des examens complémentaires biologiques et/ou radiologiques et on se retrouve devant la situation habituelle. A moins que l’infirmière ou le médecin juge « au pif » et bonjour les dégâts et les procès. 


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  • Brèves du 15.10.18Faits divers

    - La liquidation de son siège n’a pas empêché le parti socialiste de fuir de toutes parts provoquant un important dégât des os dans le cimetière des éléphants.

    - Le pape a révélé que des tueurs à gages déguisés en médecins sévissaient dans les hôpitaux. Leurs manoeuvres ont avorté.

    - Le journalisme mène à tout à condition de sortir indemne d’un consulat d’Arabie Saoudite ou de ne pas y entrer

    - La Seine-Saint-Denis est mal barrée. Des enfants y jouent mortellement à coups de barres de fer.

    - Le Brexit se passe mal : un chasseur français tue un cycliste britannique en Haute- Savoie.

    « Navigation »

    - Un navire tunisien est entré en collision au nord de la Corse avec un porte-conteneurs chypriote en heurtant son flanc. On peut en conclure : soit que les porte-conteneurs ne sont pas encore assez gros, soit que les lunettes sont hors de prix en Tunisie, soit que les Tunisiens manquent de sommeil ou ont facilement le mal de mer. L’hypothèse d’une confusion avec l’attraction des auto-tamponneuses est peu probable.

    - Dans le sud, les rivières se sont prises pour la mer et les voitures pour des bateaux.

    Cuisine. On cherche comment tirer le Macron du feu.

    Consensus.

    - François Bayrou déclare n’avoir aucune envie de redevenir ministre. Nous non plus.

    - Ségolène Royal déclare « être bien loin » d’une candidature aux européennes. Tant mieux, loin des yeux près du cœur.

    - Hollande regrette son « Président normal ». Nous, nous ne le regrettons pas.

    Insolite. Je viens de voir place de Clichy une noire vêtue d’une burqa, harnachée d’un sac à dos, de gros écouteurs encadrant son voile, foncer sur un trottoir debout sur une trottinette.

    Débat. Un ministre de l’Intérieur est-il utile ?


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