• turner le Mew Stone à l'entrée de Plymouth
    William Turner : "Le Mew Stone à l'entrée de Plymouth"

    VENTS

     

    Les vents écartelés, voyageurs invisibles

    Entre levant et ponant ou septentrion et midi

    Promènent sur la Terre leur force invincible

    De dépression en dépression jusqu’à la folie

     

    Ils rendent ridicules même les plus beaux

    Décoiffent les dames et soulèvent leurs atours

    Courbent les hommes et volent leur chapeau

    Sous leurs risées, ils jouent de mauvais tours

     

     Papiers et feuilles valsent en mesure

    Les ballons abandonnés roulent sans arrêt

    Les perruques dévoilent les tonsures

    Battent les portes, claquent les volets

     

    Ils fouettent sans égard les drapeaux déchirés

    Les bâches arrachées ondulent comme des oiseaux

    Nappes retournées, chaises renversées

    Craquent les voiles, emportent les bateaux

     

    Le grondement des vents grossit dans les bois

    Les arbres gémissent, les racines cramponnées

    Les ramures en folie se révulsent aux abois

    Dans un barrit ligneux, ils sont déracinés

     

    Les vents irascibles secouent la mer

    Blanchissent ses crêtes hérissées

    Les vagues affolées se ruent sur la terre

    Et vomissent sur le sol leurs hoquets salés

     

    Une brise persiste sur les lieux brisés

    Un zéphyr doucereux caresse les visages

    Une main légère pour se faire pardonner

    D’avoir, en colère, commis tant de ravages

     

    La mer exténuée clapote sur les rivages

    Frangée de détritus, d’algues et d’épaves

    Lutteuse marquée par un combat sauvage

    Elle laisse stagner de sa bouche la bave

     

     

    Paul Obraska

     


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  • Le harcèlement moral serait observé dans environ 5% des couples et touche le plus souvent la femme avec des conséquences parfois graves pour la victime. Mais faut-il créer un nouveau délit par une nouvelle loi en prévoyant jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 75000 € d’amende ?


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  • 5. Qu’appelle-t-on angine de poitrine ?

     

    C’est un signal d’alarme douloureux. La douleur dans la poitrine exprime le manque d’oxygène du cœur ou d’une de ses parties [ischémie]. Mais cette douleur (dite angineuse) est l’expression ultime, celle qui parvient à la conscience, elle a été précédée par d’autres évènements. D’abord la modification des transformations chimiques [métabolisme] dans les cellules cardiaques qui cherchent à pallier le manque d’oxygène en trouvant une autre source d’énergie, ensuite apparaît une baisse de l’efficacité du muscle mal perfusé [troubles de la cinétique], enfin son activité électrique [électrogénèse] - celle qui précède et provoque la contraction des fibres - est altérée, c’est cette altération que nous pouvons saisir en enregistrant un électrocardiogramme.

    L’angine de poitrine (ou angor) est donc une douleur exprimant une souffrance du muscle cardiaque. Sa signification dans l’évolution de la maladie coronaire dépend des circonstances de déclenchement, de sa durée, de sa fréquence et de la modification de tous ces facteurs dans le temps.

    Dans l’angine de poitrine stable il existe un ou plusieurs rétrécissements [sténoses] fixes sur une ou plusieurs coronaires (dans la grande majorité des cas par athérosclérose). Le débit de sang dans l’artère rétrécie peut suffire tant que l’adaptation de ce débit correspond aux besoins du territoire irrigué. S’il apparaît une discordance entre le débit sanguin et les besoins du muscle cardiaque, l’angor bloque le patient et vient le rappeler à l’ordre. Le travail du cœur - pompe à propulser le sang - doit s’adapter à la demande en sang oxygéné de l’ensemble de l’organisme et notamment des muscles et du tube digestif. Les besoins en oxygène du cœur augmentent donc parallèlement avec ceux des autres organes. L’état coronarien étant stable, l’angine poitrine apparaît toujours (ou presque) pour un même niveau de besoins et donc dans les mêmes circonstances que le patient finit par bien connaître (et par éviter), correspondant le plus souvent à un certain niveau d’effort, par exemple : marche plus ou moins rapide, en montée, contre le vent, par temps froid, associée à l’émotion d’être en retard ou à la digestion… La crise d’angine de poitrine cesse rapidement (en quelques minutes) avec la cause qui l’a déclenchée. Dans l’angor stable la circulation coronarienne est presque toujours suffisante au repos.

    corronaires

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  • Nous sommes de tout cœur avec l’ambassadeur arabe qui, fiancé à une Emiratie portant le voile intégral, s’est aperçu en l’embrassant après avoir signé son contrat de mariage qu’elle était barbue et qu’elle louchait. La future belle-mère lui avait montré la photo de sa sœur. Le tribunal islamique a annulé le contrat et prononcé le divorce, mais le dupé n’a pas pu récupérer les 500000 dirhams de cadeaux offerts (selon Gulf News).


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  • DSC00237

    SOUS-BOIS

     

    Les arbres parés de mousse émeraude

    Colonnades cerclant les puits de clarté

    Dans le végétal vertical l’intrus perdu rôde

    Ses pas craquent sur les brindilles brisées

     

    Dans les branches s’infiltre la lumière

    Elle tombe en nappe sur le sol herbu

    Scintillante de myriades de poussières

    Les projecteurs du ciel suivent l’intrus

     

    La basse continue des insectes en nuées

    Bourdonne avant un assaut imprévisible

    Les racines sournoises accrochent les pieds

    Les feuilles masquent des trous invisibles

     

    Quelque chose se faufile dans les fourrés

    Quelque chose rampe quelque part

    Surgissent les contes qui l’avaient terrifié

    Et peuplaient, enfant, ses cauchemars

     

    Un lièvre bondit, virevoltant, cul en l’air

    L’intrus suit du regard son arrière-train

    Jusque dans le soleil d’une clairière

    Où il retrouve soulagé son chemin

     

     

    Paul Obraska

     

     


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  • Les Suisses sont ennuyés. Ils acceptent volontiers l’argent que l’on veut bien mettre dans les banques de leur pays, ils acceptent même les étrangers qui ont de l’argent et qui désirent y vivre, même si les raisons de ce choix ne sont pas toujours avouables, ils acceptent en souriant (pour certains) les touristes qui viennent visiter leur beau pays, mais ils sont ennuyés par les étrangers qui viennent  volontairement y mourir dans un tourisme de mort après un séjour trop bref pour être rentable.

    En effet, en Suisse, de nombreuses « Dignitas clinics » pratiquent légalement le suicide médical assisté (par la mise à disposition d´une potion létale, mais l´euthanasie active y est interdite, comme en Suède et au Danemark)[1]. Chaque année des dizaines d’étrangers, le plus souvent britanniques, allemands et français, choisissent comme destination finale les cantons helvètes.

    L’activité internationale de Dignitas, accueille en moyenne 200 étrangers chaque année. Le coût pour un étranger souhaitant recourir aux services de cette association s’élève à 6 000 euros (A noter qu’une étude concernant « 274 personnes accompagnées par Dignitas (….) entre 2001 et 2004 » indiquait que « 79 % souffraient d’affections incurables », ce n’était donc pas le cas de 21%).

    Mais les Suisses savent compter : ces autolyses particulières engendrent fréquemment des frais de procédure, liés à l’ouverture d’une enquête et souvent à la réalisation d’une autopsie, qui s’élèvent en moyenne à 600 000 francs suisses par an et certains responsables suisses se sont émus du fait que leur pays est ainsi contraint de prendre en charge de tels coûts pour des ressortissants étrangers venus chercher la mort en Suisse. Ils envisagent donc de créer une taxe (après une votation) qui pourrait s’élever à 34 000 euros (50 000 francs suisses), pour chaque candidat étranger au suicide, accueilli par une organisation suisse, sauf s’il vit en Suisse depuis plus d’un an (on est soulagé pour certains de nos compatriotes qui se plaisent dans ce beau pays et qui n’auraient pas pu payer le surcoût engendré par cette taxe).

    Cette taxe rapporterait pour 200 candidats par an, la somme de 10 millions de francs suisses, ce qui ferait un bénéfice annuel de 9 millions 400000 francs suisses.

    Les Helvètes savent compter, mais peut-être en ont-ils assez de cette évasion létale et du blanchiment des morts et préfèreraient que chacun meure chez soi.

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    [1] En France, par le décret du 19/02/2010 publié au JO de 21/02/2010, il vient d’être créé un nouveau bidule qui se surajoute aux autres bidules et qui sera appelé « l’Observatoire de la fin de vie » avec un comité de pilotage de douze membres. Les observateurs seront essentiellement chargés d’évaluer les besoins de recherche et surtout d’information du public et des professionnels de santé sur la fin de vie. Tâche lourde.

     


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  • JARGON. Permet parfois au médecin de masquer son ignorance en substituant au terme courant son équivalent médical. Ainsi un essoufflement devient une dyspnée et des érections rares, une période réfractaire allongée.
    JEUNESSE. Maladie qui guérit toute seule. Il suffit d’attendre.
    KETCHUP. Ingrédient obligé de la diététique des enfants. 

    KINESITHERAPEUTE. Se mobilise d’un patient à un autre.

    KLEPTOMANIE. La seule manie qui rapporte.

    KNOCK-OUT. Coma  provoqué sous les ovations de la foule.

    LABORATOIRE (EXAMENS DE). «  Si le malade a soif et si les examens de laboratoire disent qu’il n’a pas soif, il y en a un des deux qui se trompe et ce n’est pas le malade » (Le bon réanimateur).

    LABORATOIRE DE RECHERCHE. Recherche de l’argent pour trouver l’or du Nobel.

    LAPAROTOMIE. Pour voir ce que quelqu’un a dans le ventre.

    LASER. Répare en chirurgie et tue dans « La Guerre des Etoiles ».

    LAVAGE DES MAINS. Permet de se débarrasser des importuns.

    LEADER D’OPINION. Médecin omniprésent dans les réunions et les publications médicales. Recherché par les laboratoires pharmaceutiques pour imposer leurs produits à ses confrères. Le conflit d’intérêts est un conflit qui bénéficie aux deux camps. Comme d’habitude les victimes éventuelles sont toujours des civils.

    LEGALE (MEDECINE). Ne s’occupe que des morts. Il serait déplacé d’en conclure que c’est la médecine illégale qui s’occupe des vivants.

    LEGISTE (MEDECIN). Clown blanc des séries policières télévisées, tend à être remplacé par une jeune femme, le plus souvent charmante, qui, à se pencher au plus près sur son travail, semble se parfumer aux odeurs de décomposition.

    LENDEMAIN (PILULE DU). Répare l’oubli de la femme après avoir perdu la tête.

    LIBIDO. Fait couler autant d’encre que de sperme.

    LIFTING. Enlève les rides mais empêche de se dérider.

    LIPECTOMIE, LIPOSUCCION. Permettent de dépenser le gras mis de côté

    LITHIASE. Mauvais calculs.

    LIT (D’HÔPITAL). Meuble à roulettes dans lequel on couche un malade (sans être certain qu’il pourra y dormir). Souvent confondu par les « experts » avec le malade lui-même, d’où leur conseil de supprimer des lits pour supprimer des malades. Il est possible qu’en définitive ils aient raison : le malade risque de ne plus l’être de façon définitive si on ne lui trouve pas un lit pour le soigner.

    LOI DES SERIES. Loi inexistante qui sert souvent d’explication ou d’excuse à des erreurs professionnelles réitérées.

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    Je n’ai pas encore lu le dernier ouvrage d’Elisabeth Badinter : « Le conflit. La femme et la mère », mais j’ai lu le précédent : « Fausse route », qui traitait du même sujet et j’ai entendu et lu les nombreux interviews de l’auteur, et pris connaissance de certaines réactions que son ouvrage a suscitées.

    La thèse de Mme Badinter tente de démontrer que l’on est entré dans les pays occidentaux dans un mouvement de régression vis-à-vis de la femme. Un des arguments des opposants à cette thèse est de s’attaquer à sa personne en avançant qu’étant une riche héritière de Publicis, elle ne défendrait par son livre que les intérêts de la maison de publicité (argument avancé même par le Canard Enchaîné) et que pour d’autres, elle ferait mieux de distribuer son argent aux mères africaines. Croit-on vraiment que cette femme ait besoin d’un livre pour conserver ses avoirs ? C’est un argument qui ne grandit pas ceux qui l’utilisent et qui ressort plus de la haine jalouse que du débat d’idées.

    Il est certain que depuis plus d’une décennie, les mères subissent de fortes pressions pour donner le sein à leur rejeton. L’OMS l’a recommandé, une directive européenne de mai 1999 a suivi et un décret au JO du 8 août 1998 encourage, dans les maternités, les sermons orientant le choix des nouvelles mères[1]. En 2000 un débat a eu lieu à la Chambre des Communes pour permettre ou non aux  parlementaires britanniques d’allaiter leur bébé sous le regard de leurs collègues[2]. Les avantages du lait maternel sur la santé de la mère et de l’enfant sont mis en avant. Ce serait quasiment une panacée protégeant le futur adulte de nombreux maux allant des caries dentaires à la sclérose en plaques en passant par l’infarctus du myocarde !

    Presque chaque semaine, je vois passer des articles, surtout américains, vantant les vertus de l’allaitement maternel. C’est à ce point, que trouvant suspect ce matraquage, je me suis demandé (avant la parution du livre de Mme Badinter) s’il n’y avait pas, outre-Atlantique, une influence des ligues, des sectes et des religions qui préfèreraient que les femmes restent à la place qui leur est assignée, c’est à dire au foyer (ce qui est une perspective de riches car la plupart des couples ont besoin de deux salaires pour vivre). Bien sûr que le lait maternel est presque toujours préférable au lait de vache, mais le retour au naturalisme doit être librement choisi sans rendre la mère coupable de ne pas se plier à ce diktat étayé par des arguments médicaux peut-être discutables, car les nombreuses générations élevées au biberon ne paraissent ni plus débiles ni plus fragiles que les générations allaitées. On parle de fusion de la mère et de l’enfant, c’est possible, mais elle ne garantit pas que la femme qui allaite se révèlera meilleure mère que celle qui ne le fait pas. Quant à l’enfant, il se moque totalement de cette fusion et ne sera aucunement reconnaissant à sa mère de l’avoir allaité.

    Depuis de nombreuse années la vie des parents et notamment de la mère (car l’aide du père laisse parfois à désirer) a été simplifiée, ce qui a permis à la femme de devenir plus autonome, par l’introduction des petits pots pour nourrir l’enfant et des couches jetables pour son hygiène et voilà que pour revenir au naturalisme et satisfaire l’écologie, on propose de préparer soi-même la nourriture - de préférence bio - de l’enfant et de remplacer les couches jetables (il est envisagé de les taxer) par les anciennes langes que l’on peut réutiliser après les avoir lavées, et pourquoi pas à la main pour éviter les dépenses d’énergie exigées par le fonctionnement d’une machine à laver. Il y a tout de même d’autres sources de pollution autrement plus importantes sur lesquelles il serait nécessaire d’agir pour sauver la planète que les couches jetables !

    Le combat écologique est en train de s’égarer jusqu’à devenir ridicule et oppressif.  La foi écologique ne pousse-t-elle pas de plus en plus d’Anglo-Saxonnes à réutiliser la coupe menstruelle après l’avoir vidée, lavée et stériliser toutes les douze heures ? En effet, rien qu’en France, 4,8 millions de tampons et serviettes hygiéniques sont brûlés chaque année, ce qui est, sans aucun doute, désastreux pour le réchauffement climatique. A vous de choisir, mesdames !

    biberon


    [1] D’après Elisabeth Badinter (« Fausse route »,  éd Odile Jacob 2003)

    [2] Le Point du 12/05/2000


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  • J’ai vu brièvement à la télévision le champion de golf Tiger Woods s’aplatir dans un mea culpa larmoyant en demandant pardon pour ses incartades extraconjugales devant un auditoire sans doute friand de la chose, le nez sur la culotte et la Bible dans la poche. Je n’ai aucune sympathie particulière pour ce jeune homme devenu milliardaire en mettant ses petites balles dans de petits trous et je suis persuadé que ses sponsors qui l’ont abandonné un temps s’empresseront après cet acte de contrition de reprendre les affaires. Mais de quoi s’agit-il ?

    Le monstre a eu 14 maîtresses en 6 ans (rappelons qu’il a une trentaine d’années). Il a donc été accusé d’être malade (« sex addict ») et obligé de se soigner en clinique pour une désintoxication sexuelle comportant, bien sûr, l’abstinence forcée et la participation à de groupes de parole (avec prière collective, s’il vous plait) afin de gérer ses pulsions monstrueuses pour la modique somme de 40000 dollars et ça dans un pays où la pornographie existe à tous les coins de rues ou d’écrans et le Viagra à portée de toutes les bourses.

    Que sa femme ne soit pas contente, on la comprend, bien qu’un éventuel divorce lui assurerait une retraite dorée. C’est une affaire de couple et même si ce beau gosse friqué est un personnage public, chaud lapin (tout est relatif) et infidèle, il n’est atteint d’aucune maladie, mais accusé de l’être dans une société hypocrite qui sent le dessous de soutane. Ils sont fous ces Américains !

    golf


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  • 4. Comment peut se révéler l’insuffisance coronarienne ?

     

    Pour le patient, et en simplifiant, l’insuffisance coronarienne (insuffisance de l’apport par les artères coronaires de sang oxygéné au cœur)  peut se révéler de trois façons : la douleur, l’essoufflement et… la mort subite.

    Dans plus de la moitié des cas la maladie se révèle par un arrêt cardiaque et se termine trop souvent avec lui. Les causes possibles de cet arrêt cardiaque sont diverses, mais la cause la plus fréquente est un trouble du rythme ventriculaire. Un territoire - pas forcément étendu – privé brutalement de sang oxygéné peut être à l’origine d’une désynchronisation de la contraction cardiaque. Normalement un schéma ordonné assure une contraction globale, efficace et périodique [rythme] de toutes les fibres musculaires, si les fibres des ventricules qui propulsent le sang dans les deux circulations (pulmonaire et générale ou systémique) se contractent de façon anarchique [fibrillation ventriculaire] le cœur devient totalement inefficace.

    La douleur est le mode de révélation le plus commun. C’est une douleur sur le devant et au milieu de la poitrine, large et angoissante, pouvant irradier aux bras, à la mâchoire et dans le dos, donnant souvent l’impression d’un resserrement du thorax. Mais cette douleur n’est pas toujours aussi caractéristique.

    L’essoufflement est un mode de révélation moins connu et beaucoup moins spécifique. Il peut précéder la douleur ou rester isolé, en particulier lorsqu’il existe une atteinte cardiaque chronique [insuffisance cardiaque]

    corronaires

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